Le Tourbillon – Journal officiel mensuel de la Ville de La Chaux-de-Fonds

Journal officiel mensuel
de la Ville de La Chaux-de-Fonds

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    Mois : novembre 2022

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    Les éditos

    Une Trotteuse monumentale…

    Une Trotteuse monumentale...

    La période festive de l’Avent qui approche à grands pas ouvre cette année encore de belles perspectives. Les multiples évènements qui se dérouleront durant le mois à venir inciteront les habitant·e·s à investir les rues pour les illuminer par leur sourire et feront briller les yeux de nos enfants.
    Le samedi 10 décembre, le centre-ville vivra au rythme de la corrida de Noël. Le comité d’organisation de La Trotteuse-Tissot et ses bénévoles se mobilisent pour permettre à toutes et tous de partager, en famille ou entre amis, un après-midi convivial. Ce sont ainsi 3000 personnes qui sont attendues et près de 500 d’entre elles qui participeront à la mythique “course des pères Noël”.

    Cette 14e édition sera également l’occasion d’inaugurer et de mettre en lumière l’horloge monumentale qui trônera désormais sur la place de la Gare. Une œuvre d’art qui commémore le savoir-faire horloger et qui honore la reconnaissance par l’UNESCO des Villes de La Chaux-de-Fonds et du Locle pour leur patrimoine horloger d’exception.

    Le généreux don que fait la maison Tissot SA à notre Ville comble ainsi le manque d’horloges dans la Métropole horlogère et attirera de nombreux curieux·ses ou passionné·e·s.

    Les festivités se poursuivront le week-end du 17 et 18 décembre avec l’inauguration tant attendue de MUZOO

    Les festivités se poursuivront le week-end du 17 et 18 décembre avec l’inauguration tant attendue de MUZOO. L’occasion de rassembler dans un lieu magique, jeunes et moins jeunes, pour découvrir les joyaux animaliers qui enchanteront les visiteurs.
    En parallèle, le “Noël des Montagnes” revivra sur la place du Marché durant cette période. Organisée conjointement par la “Jeune Chambre internationale Montagnes neuchâteloises” et l’association “Noël en ville”, cette manifestation réunira de nombreux artisans autour d’animations et de lieux de restauration.

    Gageons que, malgré l’absence des traditionnelles décorations lumineuses remplacées par d’autres embellissements originaux, les diverses activités proposées charmeront la population et inciteront à la découverte et aux rencontres chaleureuses.

    Le Conseil communal

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    Regards croisés

    Regards croisés : les traditions hivernales des fêtes de fin d’année

    Regards croisés : lES TRADITIONS DES FÊTES DE FIN D'ANNéE

    Mes parents étaient catholiques, à Noël nous allions à la messe de minuit. Quand on rentrait, ma maman nous préparait de la tresse, du café et de l’Ovomaltine avant d’aller au lit.

    Les fêtes de décembre arrivant à grands pas, ce dernier “ Regards Croisés ” de l’année nous invite à plonger dans l’ambiance de cette belle période. Le prochain numéro du Tourbillon proposera une édition spéciale et consacrera sa double page centrale à des photographies de “ rétrospective de La Chaux-de-Fonds 2022 ”.

    Pour découvrir comment se passaient ces fêtes il y a 80 ans, j’ai rencontré Jacqueline Vuilleumier, qui conte l’histoire de sa vie : “ J’ai eu 90 ans cette année, je suis née en 1932, j’ai vécu la guerre quand j’avais un peu plus de 10 ans ”. 90 ans… Je suis stupéfaite par l’énergie et la mémoire impressionnante de Jacqueline. Elle se rend au foyer de jour du home Le Temps Présent tous les mardis, et ce, depuis environ trois ans.

    Un programme qui lui plaît : rendez-vous à 10h pour le café, s’ensuit d’une matinée de jeux, un bon repas à midi et rebelote, on joue jusqu’à 16h puis nous sommes reconduits·es à la maison.

    L’âme de ses souvenirs n’a pas pris une seule ride, ses yeux expriment chacune de ses émotions qui ravivent le passé.

    Elle se rappelle les ambiances de son enfance : la “ pétoche ” qu’elle avait lorsque le père Noël venait à la maison, et aussi sa maman qui préparait un rôti avec des “ schtok ”, une expression qui désigne la purée de patate. “ À Nouvel An, la soirée se passait en famille, à faire des jeux, on se souhaitait la bonne année et nous allions au lit. Dans le temps ce n’était pas une grosse fête, les gens n’avaient pas d’argent, chacun restait chez soi. “

    L'interview en podcast

    Une fois, ma cousine est venue dormir, on n’avait pas le droit, mais on s’est levées tout doucement la nuit. On est retourné au lit, car si on ne dort pas ou si on fait semblant de dormir, le père Noël ne vient pas  ! – Clémentine

    Parler Noël et fêtes de fin d’année plus de vingt jours avant la date, c’est visiblement trop tôt pour les trois “petits monstres” de la classe 3FR112 que j’interroge au collège Numa-Droz.

    Willow, Clémentine et Satinka, par ordre d’apparition sur la photo, ne sont pas encore dans l’ambiance, mais ils racontent tout de même leurs histoires au sujet des calendriers de l’Avent et des cadeaux que préparent les parents. Cette tradition datant du 19 e siècle et d’origine germanique, permet aux enfants de patienter jusqu’à Noël. Une image religieuse était offerte chaque matin durant les
    25 premiers jours de décembre. Aujourd’hui la tradition se perpétue, mais les enfants trouvent généralement des surprises gourmandes ou ludiques dans leur calendrier.

    Le Saint-Nicolas est toujours aussi populaire, il dépose des chocolats et des cacahuètes dans les pantoufles en se rendant dans les écoles. Mais bien entendu, ces trois rigolos de la classe 3FR112 ont été sages, ils ne risquent pas la visite du père Fouettard… Ils savent même déjà ce qu’ils demanderont au père Noël cette année.

    Le père Noël tiendrait ses origines du Saint-Nicolas, son histoire s’est ensuite mêlée avec diverses traditions et légendes. Certains disent qu’il est relié à la mythologie nordique, d’autres pensent qu’il vient de Sibérie et de rituels chamaniques… Qui saurait dire exactement, peut-être vit-il au Pôle Nord, comme le racontent certains parents. Entouré de lutins et de ses rennes, appliqué à lire les listes de souhaits envoyées par des millions d’enfants… Après tout, c’est ça, la magie des fêtes.

    Textes et audio : Sophie Amey
    Photos : Sophie Amey et Nolan Crelier

     

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    Loisirs Sports

    CLUB DES PATINEURS LA CHAUX-DE-FONDS

    CLUB DES PATINEURS
    LA CHAUX-DE-FONDS

    Depuis plus de 100 ans, notre Club transmet sa passion du patinage artistique à des personnes de tous âges. Nos compétiteurs nous représentent en Suisse et à l’étranger.

    Cette saison, ce sont quatre coachs, Donatella Vaucher, Alexia Polaszek, Katia Leininger et Cédric Pernet qui patinent aux côtés des enfants et adultes du Club avec l’aide d’une dizaine de moniteurs et monitrices. Dans notre Club, deux disciplines sont pratiquées : le patinage artistique et la danse sur glace. Les patineurs et patineuses artistiques apprennent à réaliser des sauts, des pirouettes, des retournements sur un pied et des chorégraphies afin de monter un ou deux programmes pour la saison. Ils sont répartis dans différents groupes en fonction de leur niveau et de leurs objectifs.

    Dès 4 ans, les enfants ont la possibilité de découvrir ce sport dans notre école de patinage. Ils rejoignent ensuite le groupe pré-compétition dans lequel ils s’essaient aux premiers sauts et pirouettes. Après cela, les jeunes évoluent à l’école de glace, dans différents niveaux. En collaboration avec les écoles, la filière Sport-Art-Études permet à nos jeunes talents de concilier études et entrainement.

    Pour les plus grands qui ne souhaitent pas nécessairement entrer dans la filière compétition, d’autres groupes existent afin de profiter du plaisir de la glisse. Deuxième discipline, la danse sur glace. Nos couples doivent allier les retournements sur un pied, les pirouettes et leur chorégraphie sur un programme imposé et un programme libre. N’hésitez pas à aller jeter un coup d’œil à notre site : cp-cdf.ch  !

    Laura Bolle, responsable communication
    Photo : Aline Henchoz

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    Loisirs

    Un Marché de Noël au cœur de La Chaux-de-Fonds

    Un Marché de Noël au cœur de La Chaux-de-Fonds

    Cette année, le Marché de Noël est organisé par deux associations locales à but non lucratif. “ Noël en ville ” qui a d’ores et déjà mis sur pied plusieurs marchés de Noël par le passé et la “ Jeune Chambre Internationale Montagnes neuchâteloises ” qui œuvre notamment dans le but de créer des opportunités et des changements positifs dans la société. La manifestation est soutenue par la Ville et ses services.

    Le Marché de Noël se tiendra du 13 au 22 décembre 2022 sur la place du Marché, et des animations pour petit·e·s et grand·e·s seront proposées chaque jour durant les périodes d’ouverture du marché.

    Composé de 12 chalets et d’une tente chauffée, le Marché de Noël sera ouvert entre 17h et 21h les jours de la semaine et à partir de 14h les mercredis ( fermé le lundi ). Le week-end, les artisans seront présent·e·s de 10h à 21h le samedi et de 11h à 18h le dimanche. Les organisateur·trice·s ont également cherché à travailler avec les commerçant·e·s de la place afin de créer des synergies. Vous y découvrirez de l’artisanat, des spécialités d’ici et d’ailleurs et de quoi vous sustenter  ! Au programme : soirées à thèmes, chorales d’enfants, présence du père Noël, Silent Party et bien d’autres surprises…

    Plus d’informations sur www.facebook.com/noelenville2300

    Nancy Kaenel Rossel, chargée de projet commerce et tourisme.
    Photo : Aline Henchoz

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    Le Conseil Général vous parle

    Augmenter la part d’énergie photovoltaïque locale

    Un pas vers "La Chaux-de-Fonds, Capitale culturelle 2025"

    Ce mois-ci, les Vert’libéraux des Montagnes fêtent deux ans d’activité au Conseil général. Depuis le début de notre engagement, nous veillons à relever l’urgence de la transition énergétique dans nos interventions.

     
    Nous n’avons donc pas attendu la crise du conflit ukrainien qui pousse toute l’Europe vers de nouvelles options d’approvisionnement en électricité pour insister sur les énergies renouvelables, l’isolation des bâtiments et l’économie d’énergie pour relever les défis énergétiques et climatiques.

     
    La volonté des Vert’libéraux est de travailler “ pour avancer ” et si possible “ avec les autres groupes ”. C’est dans cet état d’esprit que nous avons initié la motion interpartis “ Groupe’it -HES.SO ” co-signée par tous les groupes et acceptée par l’exécutif.

     
    La collaboration avec “ Group’it ” permet aux citoyens·nes d’y voir plus clair dans les projets d’installations photovoltaïques. L’accompagnement est gratuit dans la première partie de la démarche.
    En effet les questions du quoi ? comment ? quand ? combien ? avec qui ? reviennent souvent sur les lèvres des propriétaires soucieux·ses d’amorcer une transition énergétique de leur patrimoine bâti.

    Les dédales des différentes démarches : permis, demandes de subventions, lectures des offres des artisans, choix du matériel, sont des éléments compliqués pour Mme et M. ” Tout-le-monde “.

    Ces difficultés retiennent les propriétaires à se lancer dans de telles réalisations, peut-être autant que le coût important de l’investissement. Même si celui-ci sera sans aucun doute rentable au vu de l’augmentation de l’électricité  ! 

    Cette structure, soutenue par l’Office fédéral de l’énergie, accompagne et facilite la mise en relation entre citoyens·nes et installateurs afin d’accélérer le processus. Les communes de Neuchâtel et Milvignes ont adhéré au concept, et après les conférences ” Énergie solaire, comment faire ? ” plus de 200 projets ont été enregistrés. 

    L’aide supplémentaire des experts de “ Group’it Hes.SO ” assure en plus un accompagnement neutre, donc la liberté de choix, un gain de temps et des offres attractives pour les citoyens·nes. Cette collaboration, dans le même temps, soutient l’économie locale en proposant des offres groupées auprès des entreprises et artisans locaux.

    Prochain engagement : un rachat plus équitable de vos Kwh  !

    Pour le Groupe Vert’libéraux
    Brigitte Leitenberg

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    Culture

    Bon pied bon oeil

    BON PIED BON OEIL

    Cela faisait longtemps qu’il était épuisé, mais le voilà enfin de retour  ! Le guide Bon Pied Bon Œil vient d’être réédité par les Éditions
    Livreo-Alphil.

    Illustré par plus de 400 images, ce guide met en valeur 262 objets du patrimoine de La Chaux-de-Fonds. Huit thèmes permettent d’aborder la ville sous l’angle de la Belle Époque, de l’Art nouveau et de sa variante locale, le Style sapin, de l’œuvre de Le Corbusier, de l’horlogerie ou encore de son histoire générale.

    À la fois livre d’art et guide touristique, cet ouvrage se déguste sur son canapé, comme à travers les rues de la ville.


    Sylvie Pipoz, déléguée à la valorisation du patrimoine. Photo : Aline Henchoz

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    Le coin des musées Loisirs

    LA BANDE A NINA

    LA BANDE À NINA

    Nina Childress aime Patrick Juvet. Surtout depuis qu’elle a découvert qu’il était très gentil et poilu. Elle a donc réécouté toutes ses chansons, elle l’a peint et repeint jusqu’à l’immortaliser dans le bronze en insistant sur la patine lisse du haut de ses fesses. Elle est comme ça Nina. Elle assume une fascination continue pour les stars de son adolescence ( dans les années 1970 ), en s’attardant sur ce qui dénote leur fragilité : l’ours en peluche de Karen Cheryl, la mèche masquant les cicatrices sur le visage de Sylvie Vartan, les oreilles qui dépassent de la tignasse plate de Shelley Duval. Tiens, il semblerait donc que fragilité rime avec pilosité. L’actualité du monde et des crèmes dépilatoires ne le dément pas.


    Mais attention, pas de sensiblerie  ! La peinture de Nina Childress est vigoureuse, expérimentale, irrévérencieuse. S’il y a de la virtuosité, si ça brille dans la nuit, il y a aussi du poil à gratter les yeux, des faux brillants et du lycra holographique. Bref, bien qu’elle s’en défende, Nina Childress est restée punk. Elle a d’ailleurs, par esprit de bande, invité quelques potes à poser leur tableau là, au frais sur les murs. Voilà, c’est ça la nouvelle exposition du Musée des beaux-arts : Cils Poils Cheveux, et aussi Sharon, Patrick et Kate. L’art, c’est le mercredi après-midi de la vie.

    David Lemaire, conservateur du Musée des beaux-arts
    Photos : Aline Henchoz

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    Divers

    Parc du Doubs : préserver la biodiversité et soutenir l’économie locale

    PARC DU DOUBS : PRÉSERVER LA BIODIVERSITÉ ET SOUTENIR L'ÉCONOMIE LOCALE

    Plus de 300 km2 et quelque 60’000 habitant·e·s répartis dans 15 communes situées sur trois cantons. Le Parc naturel régional du Doubs s’étend des Brenets, à l’ouest, à Saint-Ursanne, à l’est, en passant par La Chaux-de-Fonds et Saignelégier. Bordé par la rivière dont il porte le nom, il peut se définir comme un outil de développement durable au service d’une région. Derrière ces notions parfois abstraites se cachent des projets bien concrets qui s’articulent autour de trois thématiques : la nature et le paysage, la sensibilisation et l’éducation ainsi que l’économie durable. Actuellement, le Parc mène plus de trente projets en coopération avec de nombreux acteurs locaux.

    Le Parc du Doubs se distingue également par ses paysages préservés. C’est d’ailleurs l’un des critères essentiels pour obtenir le label ” Parc d’importance nationale ” de la Confédération. Les projets “ nature ” du Parc ont pour but de favoriser sa riche biodiversité et son environnement. Parmi eux, nous pouvons citer la revitalisation de sources, la protection d’arbres pouvant servir d’habitat à la petite faune, la création de petites structures en bois ou en pierres dans le même but, ou encore le renforcement de la fritillaire pintade, une plante typique des bords du Doubs, aujourd’hui menacée d’extinction.

    Basées sur l’idée qu’il faut connaître son environnement pour mieux le préserver, la sensibilisation et l’éducation font également partie des missions du Parc du Doubs. Pour ce faire, il développe différents ateliers et animations à destination des écoles, mais aussi un programme de sorties découvertes pour les adultes.

    Enfin, le Parc du Doubs a pour objectif le renforcement de l’économie locale et durable, notamment dans le tourisme et l’agriculture. C’est dans ce cadre qu’il met en valeur le travail des producteurs via le label “ Produit des parcs suisses ”, attribué à des produits du terroir respectant les valeurs du développement durable. En échange, le Parc soutient leur commercialisation et assure leur promotion, dans une logique de circuit court. Véritable emblème de la région, le Parc du Doubs mène également différents projets touristiques afin de mettre en valeur le cheval franches-montagnes.

    Créé en 2013, le Parc du Doubs a obtenu récemment la prolongation de son label pour dix ans, lui permettant de poursuivre ses actions au moins jusqu’en 2032. Répondant à des préoccupations très actuelles, il est avant tout un outil au service de ses habitant·e·s… à chacun·e d’en faire bon usage  !

    Sylvine Boillat, chargée de communication pour le Parc du Doubs.
    Photos : Parc du Doubs

    Le Parc régional du Doubs en vitrine à Muzoo
    Que fait le Parc du Doubs en faveur de la biodiversité ? C’est autour de cette thématique que le Parc se présentera et mettra en lumière ses projets en faveur de la nature et de l’environnement dans l’espace qui lui est dédié au sein de MUZOO. Le musée ouvrira ses portes au public les 17 et 18 décembre prochains.

    Balade à Pouillerel
    Que fait le Parc du Doubs en faveur de la biodiversité ? C’est autour de cette thématique que le Parc se présentera et mettra en lumière ses projets en faveur de la nature et de l’environnement dans l’espace qui lui est dédié au sein de MUZOO. Le musée ouvrira ses portes au public les 17 et 18 décembre prochains.

    Infos et inscriptions sur le site internet du Parc : www.parcdoubs.ch

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    Divers

    La Chaux-de-Fonds se décline aussi sur les médias sociaux

    LA CHAUX-DE-FONDS SE DÉCLINE
    AUSSI SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX

    L’information auprès des habitant·e·s est une mission de service public, mais pas uniquement. À une époque où les personnes, tant physiques que morales, ont l’habitude de comparer les différents lieux de vie ainsi que la qualité des services proposés, la notoriété, la valorisation et la vulgarisation sont prioritaires.

    Le journal officiel de la Ville, Le Tourbillon, et son pendant numérique letourbillon.ch, ne sont que deux des nombreux vecteurs de communication adoptés par le Service de la communication de la Ville. Les aficionados des médias sociaux ne sont pas en reste.

    Facebook @chauxdefonds
    Avec plus de 18’000 fans à ce jour, principalement âgé·e·s de 25 à 65 ans, dont 55 % de femmes, la page Facebook de La Chaux-de-Fonds a pour vocation de recenser, 7 jours sur 7, l’actualité de la ville, vue par les principaux médias du canton. Tout ceci saupoudré d’annonces officielles et servicielles, ainsi que de partages de publications issues d’autres pages institutionnelles (musées, etc.). Avec un contenu principalement bienveillant, la modération reste heureusement exceptionnelle.

    Instagram @2300cdf
    Ce sont plus de 7’200 “followers” (abonné·e·s) qui découvrent au quotidien de belles prises de vue de la région, réalisées notamment par notre photographe Aline Henchoz, mais aussi par les habitant·e·s de la commune, ou encore des touristes de passage. Une page composée d’un public un peu plus jeune que sur Facebook, âgé majoritairement de 25 à 45 ans. Depuis peu, cette page accueille en prime la diffusion régulière, sous forme de “stories” (formats courts d’une durée de vie de 24h), d’articles en provenance du journal Le Tourbillon, ainsi que les vidéos “Bzz Bzz” réalisées par Nolan Crelier, apprenti médiamaticien au Service de la communication.

    LinkedIn @ville-de-la-chaux-de-fonds
    Au fil du temps, LinkedIn s’est profilé comme un vaste réseau social (plus de 2,5 millions d’utilisateurs en Suisse) facilitant le dialogue entre professionnel·le·s, politiques ou encore journalistes. Il a également su s’imposer comme un outil de gestion de réputation et de communication à part entière, y compris pour les communes. De 500 abonné·e·s il y a six mois à peine, à plus de 3’400 à ce jour, la page LinkedIn de la Ville ne cesse de prendre de l’envergure. Sa ligne éditoriale : l’information économique régionale positive.

    Christophe Mirabile, chef du Service de la communication