Le Tourbillon – Journal officiel mensuel de la Ville de La Chaux-de-Fonds
La Chaux-de-Fonds, ville improbable, est née de l’industrie et s’est développée au gré de l’économie horlogère. Depuis un demi-siècle, la mono-industrie des origines s’est diversifiée, mais tout en gardant une cohérence et une complémentarité tournée vers la minutie, le précieux, la haute valeur ajoutée et l’excellence technique.
Aujourd’hui, la Métropole horlogère est bien plus que la ville par excellence dévolue aux garde-temps, elle est un pôle de compétence technologique et d’innovation qui, au-delà des petites roues dentelées, explore les nanotechnologies, le numérique ou le cleentech, sans oublier évidemment la microtechnique.
Cette diversité est une richesse et un gage d’avenir. Connecter les différents acteurs économiques, les aider dans leurs démarches administratives lorsqu’ils veulent s’installer ou se développer, les écouter pour mieux comprendre leurs besoins sont les préoccupations quotidiennes du Service de l’économie.
La pandémie nous a fait craindre le pire ; or, aujourd’hui, notre économie régionale respire la grande forme et de nombreux projets économiques émergent. Bientôt, l’ouest de la ville verra fleurir les grues, signe d’un nouvel essor qui devrait permettre de retrouver une dynamique positive de domiciliation et une meilleure santé financière.
La ville commence sa mue, une transformation profonde, mais respectueuse de son passé et de l’esprit particulier de la Métropole horlogère.
Si d’importants travaux d’infrastructure et d’aménagement changeront notre manière de vivre la ville, le développement du tissu économique, notamment en y intégrant la nécessité du développement durable, viendra appuyer l’attractivité des Montagnes neuchâteloises. Le Service de l’économie, en collaboration étroite avec les entreprises de notre région, y travaille de concert avec les autorités.
Les perspectives qui se dessinent sont enthousiasmantes, et, plus que jamais à l’instar d’Henri Bergson, nous sommes convaincus que l’avenir n’est pas ce qui va arriver, mais ce que nous allons faire.
La ville commence sa mue, une transformation profonde, mais respectueuse de son passé et de l’esprit particulier de la Métropole horlogère.
Si d’importants travaux d’infrastructure et d’aménagement changeront notre manière de vivre la ville, le développement du tissu économique, notamment en y intégrant la nécessité du développement durable, viendra appuyer l’attractivité des Montagnes neuchâteloises. Le Service de l’économie, en collaboration étroite avec les entreprises de notre région, y travaille de concert avec les autorités.
Les perspectives qui se dessinent sont enthousiasmantes, et, plus que jamais à l’instar d’Henri Bergson, nous sommes convaincus que l’avenir n’est pas ce qui va arriver, mais ce que nous allons faire.
Aussi, lorsque les autorités de l’époque décident de remplacer le pont ancien, modeste, vétuste et mal pratique (en poutraisons métalliques rivetées), par un ouvrage digne de la Métropole horlogère et de sa prospérité insolente au sortir des Trente glorieuses, elles conçoivent un pont en béton préfabriqué, un ouvrage routier aux gabarits généreux : des parapets en béton, deux voies de circulation dans un sens, deux voies de circulation dans l’autre. Inauguré en 1972, une année avant la grande crise, on le baptise fièrement du nom de Grand-Pont.
Un peu plus de cinquante ans plus tard, l’ouvrage d’art glorieux et indestructible a laissé place à un triste, gris et fragile lieu de passages pour les véhicules. Personne ne le regarde plus, personne ne s’y arrête, personne n’aime particulièrement l’emprunter. Pourtant, il s’agit d’une des portes d’entrée de notre centre-ville et il constitue la principale liaison entre le nord et le sud de la ville pour toutes les mobilités.
Demain, il sera au cœur d’une ville reconstruite sur la ville : en ouest, à ses pieds, le Pod requalifié et le quartier Le Corbusier densifié jusqu’à la Gare ; au nord-est, les moulins complètement rénovés ; au sud-est, sur la rue du Commerce, le Centre d’archives et du patrimoine accueillant les archives de l’État et de la Ville ; un peu plus loin, toujours sur la rue du Commerce, le Centre de l’administration cantonale ; enfin les Anciens abattoirs restaurés en véritable centre de congrès polyvalent et alternatif à haute valeur patrimoniale
Le lieu est donc stratégique ; en outre, depuis son centre, les perspectives sur la ville y sont belles.
Dès lors, puisque les techniques constructives des années septante nous obligent à déjà le remplacer, l’État et la Ville, dans un excellent partenariat, ont souhaité un ouvrage neuf, moderne, élégant, digne des enjeux du lieu et du temps.
C’est ainsi que fût imaginé, par les bureaux d’ingénieurs GVH, Monod-Piguet et l’architecte Yvon Allain du bureau Plarel, un pont laissant une place importante à la mobilité douce et à la végétalisation. À l’est de l’ouvrage sera créée une véritable balade urbaine séparée du trafic par des arbustes et autres plantes. Ainsi, dès 2025, c’est en toute sécurité et dans un univers de grande qualité que les familles, les écoliers et autres citoyens se rendront par exemple à la piscine ou à la patinoire des Mélèzes.
Le Grand-Pont actuel est un ouvrage d’un autre temps, celui du tout début des années 70. Alors, la voiture y est souveraine et les nouvelles techniques de construction font la modernité. Aussi, lorsque les autorités de l’époque décident de remplacer le pont ancien, modeste, vétuste et mal pratique (en poutraisons métalliques rivetées), par un ouvrage digne de la Métropole horlogère et de sa prospérité insolente au sortir des Trente glorieuses, elles conçoivent un pont en béton préfabriqué, un ouvrage routier aux gabarits généreux : des parapets en béton, deux voies de circulation dans un sens, deux voies de circulation dans l’autre. Inauguré en 1972, une année avant la grande crise, on le baptise fièrement du nom de Grand-Pont.
Un peu plus de cinquante ans plus tard, l’ouvrage d’art glorieux et indestructible a laissé place à un triste, gris et fragile lieu de passages pour les véhicules. Personne ne le regarde plus, personne ne s’y arrête, personne n’aime particulièrement l’emprunter. Pourtant, il s’agit d’une des portes d’entrée de notre centre-ville et il constitue la principale liaison entre le nord et le sud de la ville pour toutes les mobilités.
Demain, il sera au cœur d’une ville reconstruite sur la ville : en ouest, à ses pieds, le Pod requalifié et le quartier Le Corbusier densifié jusqu’à la Gare ; au nord-est, les moulins complètement rénovés ; au sud-est, sur la rue du Commerce, le Centre d’archives et du patrimoine accueillant les archives de l’État et de la Ville ; un peu plus loin, toujours sur la rue du Commerce, le Centre de l’administration cantonale ; enfin les Anciens abattoirs restaurés en véritable centre de congrès polyvalent et alternatif à haute valeur patrimoniale. Le lieu est donc stratégique ; en outre, depuis son centre, les perspectives sur la ville y sont belles.
Dès lors, puisque les techniques constructives des années septante nous obligent à déjà le remplacer, l’État et la Ville, dans un excellent partenariat, ont souhaité un ouvrage neuf, moderne, élégant, digne des enjeux du lieu et du temps.
C’est ainsi que fût imaginé, par les bureaux d’ingénieurs GVH, Monod-Piguet et l’architecte Yvon Allain du bureau
Plarel, un pont laissant une place importante à la mobilité douce et à la végétalisation. À l’est de l’ouvrage sera créée une véritable balade urbaine séparée du trafic par des arbustes et autres plantes. Ainsi, dès 2025, c’est en toute sécurité et dans un univers de grande qualité que les familles, les écoliers et autres citoyens se rendront par exemple à la piscine ou à la patinoire des Mélèzes.
Le Conseil communal
2) Comment sont traités les déchets une fois qu’ils ont été ramassés ?
Pour les déchets incinérables, ils sont acheminés via l’usine de traitement Vadec. Pour le papier-carton, une bonne partie transite dans une station de tri à Cottendart. Concernant les huiles, elles sont traitées chez Thommen-Furler, entreprise spécialisée dans le recyclage et l’élimination des déchets industriels et spéciaux. L’aluminium et le fer blanc, sont traités localement par la société Favre Transports-Récupération, une entreprise active dans le transport de chantier et dans le recyclage. Le verre transite par un partenaire local Tanner & Fils SA qui l’achemine chez un repreneur Vetroswiss.
Concernant les plastiques, il y en a deux sortes : les incinérables et les ” flaconnages ” qui peuvent être recyclés, ils sont acheminés chez des repreneurs. Les encombrants sont également incinérés, mais séparément des encombrants métalliques, qui eux, sont repris par la société Favre Transports-Récupération.
Les déchets ne sont pas “que” incinérés, ils servent de source d’énergie pour produire de l’électricité et de la chaleur, c’est ce qu’on appelle la valorisation thermique ou énergétique. Très utile, par exemple, pour le chauffage à distance installé en ville.