Le Tourbillon – Journal officiel mensuel de la Ville de La Chaux-de-Fonds

Journal officiel mensuel
de la Ville de La Chaux-de-Fonds

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Le jeu-concours de l'Abeille

Marché aux puces : cherchez et trouvez !

Marché aux puces : cherchez et trouvez !

Les six éléments ci-dessus se sont glissés plusieurs fois dans l’image. Pour chacun des six objets, combien en comptez-vous ?

Envoyez une photo du jeu complété ou vos réponses (par exemple A : 4) jusqu’au 20 mai 2024. Parmi les bonnes réponses, la personne tirée au sort remportera un montant de
CHF 30.- en Abeille. Le ou la gagnant·e sera avisé·e personnellement.


Une personne sera tirée au sort et remportera le montant de CHF 30.- en Abeille.
Le ou la gagnant·e sera avisé·e personnellement.

– Participez par e-mail à sume.marketingurbain@ne.ch
– Ou à l’adresse : Marketing urbain, Passage Léopold-Robert 3,
2300 La Chaux-de-Fonds en indiquant  : concours Abeille,
nom et prénom, adresse complète et numéro de téléphone.

Retrouvez les solutions des jeux-concours sur notre site internet « letourbillon.ch » au début du mois suivant et dans la prochaine édition imprimée. La solution du mois de mars :

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Le Conseil Général vous parle

Solidarité, durabilité, proximité, on s’engage !

Solidarité, durabilité, proximité, on s’engage !

Les élections communales à peine terminées, faisons le point sur les engagements du nouveau groupe socialiste que vous venez de désigner.

C’est grâce à la création d’emplois que nous pourrons attirer de nouveaux·elles habitant·e·s et, ainsi, augmenter les ressources financières de notre Ville. Pour cela, il nous faudra disposer de nouveaux terrains, mais également renforcer la qualité des services et de l’accompagnement pour les particuliers et les entreprises qui viendront s’installer.

En parallèle, nous continuerons à nous engager pour créer des espaces publics de haute qualité. Nous porterons également une attention particulière aux différents quartiers pour les rendre tous agréables à vivre.

Par ailleurs, la mobilité des personnes et des marchandises devra davantage être ouverte à tous les modes de déplacement et en particulier aux modes durables (piétons, vélos, transports en commun). Nous nous battrons pour une meilleure accessibilité aux transports publics en termes de desserte, de facilité pour tous·tes et de coûts.

L’économie circulaire est devenue un enjeu majeur au niveau économique, environnemental et régional. Une combinaison judicieuse des ressources naturelles et des déchets peut produire des richesses. Nous nous engagerons pour qu’une part grandissante des investissements publics et privés se fasse en faveur de l’innovation et du développement de l’économie circulaire. Pensons au chauffage à distance, à l’électricité renouvelable ou à quantité de nouveaux services à la population et nouveaux emplois tels que ; ateliers de réparation, magasins de seconde main, bibliothèques d’objets, etc…

Culture, sport, intégration sociale et environnement favorisent la cohésion de notre société. Aussi, nous nous engagerons à soutenir ces 4 piliers en mettant à disposition des infrastructures et en participant aux besoins financiers. Les offres culturelles et sportives doivent s’adresser à toutes les couches de la population. Par ailleurs, les associations en matière d’intégration des communautés étrangères, de soutien aux ainé·e·s ou encore personnes en difficulté doivent également bénéficier d’une aide accrue.

Alors, convaincu·e ? Suivez nos actions concrètes au cours des quatre années à venir !

Groupe PS
Pierre-Alain Borel

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Le Conseil Général vous parle

Projet Biogaz derrière les moulins

Projet Biogaz Derrière les Moulins

Lors de la séance du Conseil général du 6 mars dernier, le groupe UDC a soutenu le rapport du Conseil communal relatif au plan spécial « Biogaz Derrière les moulins ».

Nous sommes convaincus par la pertinence du projet qui permettra de produire une énergie renouvelable grâce à un partenariat intelligent entre la société Viteos et un groupe d’une quarantaine d’agriculteurs. Cette centrale permettra de produire 14 GWH/an de biométhane, ce qui correspond à la consommation en chaleur d’environ 1’400 ménages, ce qui est loin d’être négligeable. De plus, le digestat sortant sera valorisé et réacheminé dans les exploitations agricoles par les mêmes véhicules qui amènent les substrats, ce qui permettra aux camions de toujours rouler à charge, ce qui est très intéressant tant économiquement qu’écologiquement.

Plusieurs lieux ont été étudiés afin de choisir le site le plus adapté pour implanter cette installation de méthanisation. Celui de Derrière les Moulins a été choisi car c’est celui qui remplit le plus de critères positifs (accès facile, peu d’habitations environnantes, proximité du réseau de gaz naturel 5 bars et positionnement central par rapport aux exploitations agricoles partenaires du projet). De plus, les installations prévues s’intègreront parfaitement dans l’environnement actuel ce qui est aussi un point important.

Le trafic induit par ce projet sera faible, ce qui le rend facilement supportable.

Certains voisin·e·s du projet avaient quelques inquiétudes par rapport aux odeurs induites par ce Biogaz mais ils ont pu être rassuré·e·s lors de la séance publique durant laquelle les mandataires leur ont garanti que les cuves seront étanches et que les odeurs seront minimes, voire inexistantes. Le Conseil communal nous l’a confirmé lors du Conseil général.

Pour toutes ces raisons, le groupe UDC a accepté le rapport plan spécial « Biogaz Derrière les Moulins » à l’unanimité.

Contrairement aux idées reçues, le groupe UDC est sensible à l’énergie renouvelable et l’écologie en général, l’avenir de la planète n’est pas une priorité uniquement pour les partis de gauche, tout le monde est sensible à la destinée de notre belle planète.

Et nous espérons que vous avez été nombreux et nombreuses à vous être rendu·e aux urnes ce 21 avril afin d’élire vos nouvelles autorités.

Pour le groupe UDC
Vincent Pittet

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Culture Patrimoine

La ville racontée à travers ses œuvres d’art

la ville racontée à travers ses œuvres d'art

Une sculpture en mémoire de l’incendie de 1794

Le 31 octobre 1997, la Ville inaugure cinq sculptures installées sur les entrées piétonnes de la Place de la Carmagnole, réaménagée en 1996. Ces œuvres sont commandées par la Ville à des artistes vivant dans la région.

Parmi ces sculptures monumentales se trouve «Et la rue et l’histoire» de Denis Schneider. Pour la voir, il faut lever la tête en sortant de la place entre les numéros 9 et 11 de la rue Neuve. Une maison se balance en haut d’un mat représentant une flamme. Elle évoque l’incendie qui détruisit le village dans la nuit du 4 au 5 mai 1794. Placée juste derrière un immeuble qui a échappé au drame, l’œuvre rappelle cet événement fondateur de l’histoire et de l’identité locale.
Né en 1945, Denis Schneider vit et travaille à Cernier. Il a reçu le prix Bachelin en 2002 et plusieurs de ses sculptures monumentales sont visibles dans les cantons de Neuchâtel, Vaud et Jura.

Quatre autres sculptures monumentales sont installées sur les autres «portes» de la Place de la Carmagnole. «Objet trait lux», de François Jacques marque le Passage du Centre et «Sculpture bleue», d’Aloïs Dubach, le Passage Léopold-Robert. L’œuvre de Jean-Luc Bieler, «Échafaudage», placée à l’entrée du même passage est enlevée en 2017 afin de faciliter le déneigement. «Le champ de la Carmagnole» d’Anton Marty se trouve depuis 2021 sur la Place des Brigades-Internationales.

Sylvie Pipoz, déléguée à la valorisation du patrimoine
Photos : Sophie Amey

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L'établi

Mercedes Corradi, la sensibilité en peinture et en sculpture

Mercedes Corradi, la sensibilité en peinture et en sculpture

Née le 16 avril 1954 à Bahia Blanca, en Argentine, Mercedes Corradi a suivi un cursus artistique aux Beaux-Arts de sa ville natale. Des études qui ont affirmé ses créations tant concrètes que sauvageonnes, pour la mener vers de nombreuses expositions collectives et individuelles.

Subjuguée par les travaux de Balthus et de Cézanne, l’artiste latino puise ses sources dans la simplicité ; inspirée par les natures mortes, un bouquet de fleurs, un fruit… une œuvre exprime selon elle le reflet d’un vécu : ses joies, ses peines, ses colères… À la fois peintre et sculpteur, elle a petit à petit gagné en maturité.

Établie en Suisse depuis 1986, Mercedes vit désormais à La Chaux-de-Fonds. Sur les hauteurs de la métropole horlogère, sa vision artistique s’est tournée quelque peu vers le mouvement contemporain. Toujours plus motivée à façonner, Mercedes s’est dès lors mise à sculpter des personnages atypiques, hors normes. Des figures drôles, parfois dantesques, au travers desquelles monsieur et madame tout le monde se retrouve à sa manière.

L'ART EST NÉCESSAIREMENT UN PARTAGE. CHACUNE DE MES SCULPTURE ET TOILE CONSTITUE UN MORCEAU DE MA MÉMOIRE

Aussi Mercedes éprouve un sentiment de bonheur quand le curieux·se ou passionné·e s’identifie à un élément de son art. Son œuvre gravite autour de sa sensibilité et de sa sensualité… Des œuvres criantes de réalité, issues de l’imaginaire d’une artiste aboutie.

Salomé Di Nuccio et K. Zoewend © Freddy Wittwer

Site internet : www.corradi-mercedes.ch

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À votre service

l’Enseignement, une véritable Vocation

l'Enseignement, une véritable Vocation

© Logan Hintzy

C’est au collège de l’Ouest que Sylviane Quaranta raconte son quotidien d’enseignante et le rôle de cette profession qui a évolué au fil des ans.

À quoi ressemble une journée en tant qu’enseignante de 1re et 2e ?
Je m’occupe d’une classe de 18 enfants qui ont de 4 à 6 ans. Par petit groupe, les élèves participent à divers ateliers éducatifs puis ils ont du temps libre afin de jouer dans les différents coins à disposition. Nous avons par exemple le coin dessin, une salle avec un trampoline, des anneaux suspendus ou encore un petit mur de grimpe. Ces moments où les enfants jouent nous permettent de prendre du temps avec les élèves qui ont plus de difficultés et de mieux les guider de manière individuelle.

Quels sont les enjeux et les responsabilités en tant qu’enseignante à notre époque ?
Avec le PER (Plan d’études romand) les objectifs se sont complexifiés, les enfants doivent acquérir de plus en plus de choses tout en ayant des niveaux très différents. Dans une classe d’aujourd’hui, diverses cultures et langages sont réunis, les parcours de vie sont très différents, de plus en plus de troubles de l’apprentissage apparaissent également. Les écrans sont omniprésents, nous devons éduquer des enfants qui ont parfois peu manipulé d’objet. À cet âge-là, ce sont des pierres brutes que nous devons sculpter. Avec de la patience et un cadre bienveillant, tous progressent, une cohésion et un partage s’installent. Il ne faut pas oublier que ce sont des enfants, ils arrivent avec leur bagage, l’apprentissage doit être individualisé et ils n’arriveront pas tous au même endroit au même moment.

© Sophie Amey

Qu’est-ce qui est difficile dans votre travail ?
C’est durant la 1re et la 2e que les enseignant·e·s doivent repérer et différencier d’éventuels troubles. Nous devons cibler l’appui pédagogique approprié tels que l’orthophonie ou l’ergothérapie. Le plus difficile c’est de savoir si nous avons affaire à un trouble ou à un manque de stimulation, trop d’écrans, ou à un élève plus timide par exemple.

Notre rôle est aussi d’en parler aux parents. Notre intention n’est surtout pas de leur reprocher d’avoir fait quelque chose de « faux », mais d’expliquer ce qu’il est possible de mettre en place. Parfois ils sont surpris de réaliser les activités que leurs enfants sont capables de faire.

Qu’aimez-vous dans votre profession ?
C’est le plus beau métier du monde ! J’ai toujours souhaité travailler avec les enfants, c’est une véritable vocation. Je suis moi-même une grande enfant ! J’aime les voir s’épanouir, leur apprendre à devenir des écolier·ère·s, j’aime la complicité et les liens que l’on crée avec ses élèves. Ça fait 24 ans que j’enseigne et j’ai toujours la même passion et motivation. La créativité et un grain de folie sont deux ingrédients indispensables dans ce métier riche et varié, il faut savoir rester spontanée et garder, ou retrouver, son cœur d’enfant.

Sophie Amey

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La parole aux acteurs

« Vivre La Chaux-de-Fonds  » Solidarité et Dynamisme au Cœur de notre Ville

« Vivre La Chaux-de-Fonds  » Solidarité et Dynamisme au Cœur de notre Ville

Depuis sa création en 2001, l’Association Vivre La Chaux-de-Fonds rayonne d’une énergie contagieuse.

Au fil des ans, elle a marqué l’histoire de la Métropole horlogère par l’organisation d’une centaine d’événements mémorables, mettant en lumière la richesse de notre patrimoine, la diversité de nos traditions et la force de notre unité.

Depuis sa création, l’Association a été le catalyseur de nombreux projets visant à renforcer le tissu social de notre ville. Au travers des événements culturels, notre objectif reste constant : promouvoir le bien-être de tous·tes les habitant·e·s et construire un avenir radieux pour les générations à venir.

Ces célébrations annuelles ont su capturer l’essence même de notre ville, offrant une vitrine à nos richesses culturelles et renforçant les liens qui nous unissent, que nous soyons ressortissant·e·s des montagnes neuchâteloises ou étranger·ère·s.

Les événements s’adressent aux plus petit·e·s avec l’organisation annuelle de la Saint-Nicolas, comme aux plus grands avec la célébration de la fête d’anniversaire des 20 ans de Vivre La Chaux-de-Fonds.

En tant qu’association à but non lucratif, nos objectifs sont clairs et ambitieux. Nous aspirons à favoriser le développement de l’image des Montagnes neuchâteloises et de La Chaux-de-Fonds en particulier.

Nous nous engageons à promouvoir le commerce local en organisant des manifestations adaptées, tout en encourageant les activités susceptibles d’animer notre ville.

Ces événements ne seraient pas possibles sans le dévouement et l’engagement de nos bénévoles et des membres de l’Association.

Nous aspirons à resserrer les liens de solidarité qui unissent tous les milieux, et à assurer une liaison harmonieuse avec les autres institutions œuvrant pour l’intérêt général.
Vous trouverez davantage d’informations sur nos activités ainsi que sur nos prochains événements sur notre site www.vlcf.ch ainsi que sur les réseaux sociaux. Rejoignez-nous dans cette aventure passionnante pour une ville plus vibrante et plus unie que jamais que cela soit comme membre ou comme bénévole !

Dans les prochains mois, retrouvez différentes manifestations comme une course des couleurs qui devrait avoir lieu le dimanche 23 juin 2024. Munissez-vous de vos plus beaux habits de sport et préparez-vous à basculer dans un monde de couleurs pour les grand·e·s et les petit·e·s, les sportifs·ves ou les débutant·e·s.

En fin d’année, venez célébrer la Saint-Nicolas autour d’un thé ou d’un vin chaud.
Nous nous réjouissons de vous retrouver !

Jonathan MARTY, Président de «Vivre La Chaux-de-Fonds»
Photo : «Saint-Nicolas 2023»
© Mélina Marty

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Le dossier du mois

Des ateliers au service des espaces publics

Des ateliers au service des espaces publics

Derrière la porte du service des espaces publics se trouve un grand hangar animé par des professionnels de divers domaines et des véhicules en tout genre. Trois ateliers sont installés dans ces locaux : « le secteur mécanique », « le secteur serrurerie & signalisation » et « le secteur mobilier, jeux & marquage ». Les responsables de ces trois secteurs, Pascal Barben, Patrick Schwab, et Stéphane Miserez, présentent ces ateliers :

Quelles sont les activités des trois ateliers ?
Secteur mécanique (Pascal Barben) :
C’est dans l’atelier de mécanique que tous les véhicules communaux sont entretenus, révisés et réparés, nous avons les mêmes activités qu’un garage privé. Mécanique, peinture et carrosserie sont rassemblées dans un seul lieu. Nous assurons les dépannages en ville et nous conseillons les autres services sur les achats de voitures. Lors d’accident impliquant nos véhicules et ceux de privés, nous proposons également de les réparer par nos soins.

Nous essayons de faire fonctionner un maximum les entreprises locales c’est pourquoi nous établissons nos demandes d’offres à La Chaux-de-Fonds pour ce qui est des petits véhicules. Si nous ne trouvons pas ce qu’il faut, nous étendons nos recherches dans le canton, ou dans toute la Suisse. Les grands véhicules poubelles viennent de Suisse allemande par exemple.

Secteur serrurerie et signalisation
(Patrick Schwab) :
Le secteur serrurerie et signalisation s’occupe de toutes les structures métalliques présentes en ville. Nous nous chargeons de l’entretien de l’outillage de la voirie (pelles, pioches, signalisation de chantier, etc.), des bennes, des conteneurs enterrés, des poubelles, des cours de collèges… Nous fabriquons les chablons pour la signalisation peinte, les socles des bancs, les nouveaux modèles des abris bus, les abris vélo, les barrières de sécurité, etc. Nous gérons également la fabrication et la réparation de la signalisation verticale et la pose de panneaux.

Nous collaborons avec divers services comme celui des sports. Nous réparons leur matériel, les buts de foot, de handball et de basketball. Nous travaillons aussi avec les musées, à MUZOO par exemple, nous avons réalisé les cages en inox du vivarium et la plupart des barrières.
Secteur mobilier, jeux et marquage.

Secteur mobilier, jeux et marquage
(Stéphane Miserez) :
Ce secteur, qui englobe aussi la menuiserie et la peinture, s’occupe essentiellement de la gestion du mobilier urbain, de la rénovation des places de jeux et des abris bus ainsi que du marquage routier. Chaque année, tous les marquages routiers tels que les passages pour piétons, les pistes cyclables, les places de parc, etc. sont repeints. Nous nous chargeons d’installer, d’entretenir et de rénover les places de jeux pour enfants, mais nous ne les fabriquons pas, car ces structures sont soumises à de nombreuses normes de sécurité.
Nous fabriquons et rénovons les lames en bois des bancs, les tables de manifestation, les bacs à fleurs, les barrières, certains postes de la piste Vita, des rampes amovibles pour faciliter les accès aux personnes à mobilité réduite, diverses structures et aménagement lors d’expositions dans les musées, etc. L’année 2023 a aussi été rythmée par d’importants travaux de réparation et de remise en état suite à la tempête du 24 juillet.

Quelles professions trouve-t-on dans vos ateliers et formez-vous des apprenti·e·s ?
Secteur mécanique :
Pour ma part, j’ai deux CFC, je suis mécanicien auto et véhicules lourds. Ici, nous avons des mécaniciens auto qui sont également expérimentés pour les véhicules lourds. Avec un peu de pratique, on acquiert vite le savoir-faire sur les différents types de véhicules.
Nous avons également des carrossiers et nous formons des apprenti·e·s en interne chaque année.

Secteur serrurerie et signalisation :
Les professionnels qui travaillent dans cet atelier sont tous des serruriers.
Pour le moment, nous ne formons pas en interne, mais nous avons fait les démarches pour avoir un·e apprenti·e·s en AFP. Étant donné que nous faisons beaucoup d’entretien et de réparation, et peu de fabrication, nous ne fonctionnons pas comme une entreprise de serrurerie classique. Nous devrons collaborer avec une autre entreprise, afin que l’apprenti·e ait des périodes chez un privé.

Secteur mobilier, jeux et marquage :
Nous avons cinq peintres, et deux menuisiers. Nous n’avons pas d’apprenti·e·s dans notre secteur et ce n’est pas prévu d’en avoir pour le moment car nous ne disposons pas des conditions de formations exigées.

Qu’est-ce qui vous plaît dans votre métier ?
Secteur mécanique :
Ce qui est très intéressant dans mon rôle de responsable de secteur, c’est la gestion de l’atelier, l’élaboration des budgets, faire des appels d’offres, rechercher des véhicules au meilleur prix possible. J’aime me rendre aux expositions et les essayer. En mai par exemple, je vais à Munich à la plus grande exposition européenne des véhicules de voirie. L’apparence est toujours la même, mais il y a énormément d’évolution dans la consommation de carburant et les gammes électriques sont toujours plus présentes. C’est très intéressant de voir les nouveautés et de ne pas rester sur des acquis.
Secteur serrurerie et signalisation :
Mon travail est très varié, il faut être imaginatif et réactif, nous pouvons travailler en intérieur comme en extérieur, dans des environnements très différents et avec divers services.

Secteur mobilier, jeux et marquage :
J’aime mon travail dans sa globalité, c’est un métier varié qui demande de la réactivité, de l’inventivité et de la flexibilité. J’adore le contact avec la population et les services rendus à la collectivité. C’est très gratifiant et appréciable de recevoir des félicitations de citoyen·ne·s reconnaissant·e·s envers nous et nos projets.

Sophie Amey, Pascal Barben, Patrick Schwab, Stéphane Miserez et Fabien Kolly.
Photos : Sophie Amey

En chiffres (période 2023)

Secteur mécanique :

  • 12 employés : 6 mécaniciens, 1 magasinier, 1 laveur-graisseur, 1 apprenti mécanicien,
    1 carrossier, 1 peintre et 1 responsable.
  • 166 véhicules immatriculés
  • environ 50 expertises par année

    Secteur serrurerie et signalisation :

  • 6 employés (serruriers)
  • Plus de 400 containers installés en ville
  • Fabrication de 25 bancs type « La Chaux-de-Fonds »
  • Pose de 120 panneaux pour les mesures hivernales

    Secteur mobilier, jeux et marquage :

  • 7 employés : 5 peintres, et 2 menuisiers.
  • Fabrication et peinture de 600 lames en bois pour les bancs
  • Entretien général de 580 bancs fixes de la ville
  • Remise à neuf de 100 mètres de barrière de sécurité autour de l’enclos des lynx
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C'est quoi ce commerce ?

Boutique « Si’jolie»

Boutique « Si'jolie»

© Aurore Sande

Le 1er juin 2023, le désir de Magali Barbey se concrétise en ouvrant la boutique « Si’jolie », située à la rue Neuve 1, au centre de La Chaux-de-Fonds. Après un parcours professionnel riche et varié, débuté par un CFC de vendeuse en boulangerie-pâtisserie, Madame Barbey a travaillé durant 17 ans au rayon lingerie dames d’un grand magasin, puis elle entreprend un diplôme de secrétaire médicale, profession qu’elle exerce durant 7 ans.

L’année dernière, elle apprend qu’une boutique de lingerie à La Chaux-de-Fonds (Louisianne) se ferme après 40 ans d’activité et elle voit cela comme une opportunité et la possibilité de réaliser un rêve de toujours : ouvrir sa propre boutique de lingerie !

Depuis presque une année, Magali Barbey se sent dans son élément et selon elle : «c’est un vrai bonheur de servir et de conseiller sa propre clientèle». Discrète et passionnée, elle apprécie d’être à l’écoute et s’épanouit dans sa nouvelle activité.

Dans l’assortiment proposé chez Si’jolie, vous trouverez de la lingerie dans plusieurs gammes, de marques différentes et pour tous les budgets. Des lingeries fines ou tout confort pour petites et grandes tailles, de la lingerie médicale, de sport, de nuit, des modèles pour la maternité, balnéaires, sexy, avec ou sans armatures ainsi que des boxers pour hommes.

N’hésitez donc pas à entrer dans cette jolie boutique au cœur de la ville et consultez les marques et produits ainsi que les offres sur Instagram et Facebook.

Si’jolie
Rue Neuve 1
076 562 43 75
Instagram : boutiquesijolie
Facebook : Si’jolie, boutique de lingerie

Horaires :
Ma, Me, Je : 9h00 -12h00/13h30-18h30
Vendredi : 9h00 -17h00
Samedi : 9h00 -16h00