Le Tourbillon – Journal officiel mensuel de la Ville de La Chaux-de-Fonds

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C'est quoi ce commerce ?

Boutique pro shop

Boutique pro shop

Fondé en 1985 et repris en 2015 par Céline et Anthony Berger, le magasin de sport Pro Shop est expert en matière de cyclisme et de ski. En poussant la porte de l’établissement situé au boulevard de la Liberté 1, les client-e-s découvriront une vaste gamme de vélos, vélos électriques, skis et skis de fond ainsi qu’un grand choix de vêtements, chaussures et accessoires dédiés à la pratique de ces activités.

Pro Shop propose également un service d’entretien des cycles et des skis dans ses ateliers avec des outils et machines de dernière génération. Il est aussi possible d’y louer du matériel pour la pratique des sports de neige.

À l’écoute de la clientèle et soucieux du confort de celle-ci, son personnel qualifié vous conseillera également en matière de bootfitting (technique permettant d’ajuster et de personnaliser ses chaussures de ski).

Toute l’équipe de Pro Shop se réjouit d’accueillir les personnes qui débutent dans le sport ou qui pratiquent régulièrement afin de les conseiller et leur présenter les produits et les marques (telles que Scott ou Stöckli) proposés dans leur magasin.

Activités : conseil, vente et entretien de vélos et skis

Photo : Quentin Perrenoud

Pro Shop
Boulevard de la Liberté 1
2300 La Chaux-de-Fonds
032 926 52 61
www.proshopsport.ch

Horaires d’ouverture :
Mardi à vendredi 08:30 – 12:00 / 13:30 – 18:30
Samedi 09: 00 – 16:00

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Culture Le dossier du mois

Data center du canton : découverte et interview

Data center du canton : découverte et interview

Martine Margairaz, cheffe du SIEN, en compagnie d'Andrea Rizzo, chef du centre d’exploitation des systèmes d’information.

Saviez-vous que La Chaux-de-Fonds héberge le data center où est stockée la considérable quantité de données du Service informatique de l’entité neuchâteloise (SIEN) ? Nous avons eu l’opportunité de visiter cette structure, recelant des informations sensibles, en compagnie de la cheffe du SIEN, Martine Margairaz, et de collaborateur-trice-s travaillant sur le site, dont Andrea Rizzo. Dans une interview exclusive, Mme Margairaz fait le tour de plusieurs sujets allant de ses responsabilités, aux raisons du choix de notre ville pour l’installation des serveurs, en passant par des enjeux comme la sécurité et l’économie d’énergie.

Quelles sont vos tâches en tant que cheffe du SIEN ?
Je contribue à la définition des lignes directrices pour l’exécution des stratégies digitales au niveau cantonal, la définition des axes et le pilotage des projets stratégiques, ainsi que le suivi des projets internes au service, entre autres. Je réponds aux objectifs définis par mon département (le DFFD) au niveau cantonal avec d’autres services et au niveau national, avec l’office fédéral de l’informatique et l’administration numérique suisse (l’ANS).

Quelles sont les ambitions du SIEN pour La Chaux-de-Fonds ?
Nous avons discuté avec Jean-Daniel Jeanneret, Conseiller communal et interlocuteur politique, des moyens de renforcer cette compréhension de l’informatique auprès des métiers de la ville de La Chaux-de-Fonds et d’en traduire les besoins dans des solutions informatiques adaptées. Un de nos collaborateurs-trice-s est exclusivement dédié à ce rôle de coordination. C’est un poste clé pour anticiper les potentielles synergies qu’il pourrait y avoir. Culturellement et historiquement, les flux d’information véhiculés par les systèmes informatiques transitent entre les différents métiers d’une administration publique. La coordination de ces systèmes et de ces flux est d’autant plus importante.
Avoir quelqu’un qui s’en charge facilite grandement l’éxécution de cette tâche et optimise les systèmes qu’on met en place.

Nous sommes dans les locaux du data center de La Chaux-de-Fonds, pouvez-vous nous en dire plus ?
Le data center permet l’hébergement de données qui peuvent constituer des volumes gigantesques. J’appelle cela le patrimoine informationnel d’une organisation. Ce terme implique l’idée que les données, confidentielles ou privées, ont de la valeur et peuvent donc se monnayer. Le travail des serveurs ne doit pas être interrompu. Il faut donc veiller à assurer la continuité des systèmes. D’où la nécessité de les renouveler tous les 6 ans et, pour les secteurs les plus sensibles, tous les 5 ans. En tant que gros consommateurs d’électricité, nous faisons attention à limiter la pollution provoquée par l’utilisation d’internet. Il est important de suivre cette consommation. Un mail avec des documents en pièces jointes va consommer davantage d’énergie qu’un mail avec un lien pour accéder à une plateforme, par exemple.

Ce data center fonctionne en grande partie sur le free-cooling. Cette technologie utilise l’air extérieur pour faire refroidir les serveurs plutôt que d’activer au maximum les climatisations, ce qui permet d’économiser de l’énergie et donc de limiter la consommation d’électricité.

Avez-vous des projets par rapport à l’usage de l’intelligence artificielle ?
Aujourd’hui le SIEN n’est pas encore en mesure d’offrir une infrastructure propre à l’exploitation de ces technologies. Néanmoins, l’IA doit être envisagée de manière sérieuse. Le SIEN travaille à mettre en place un cadre réglementaire pour une utilisation sécurisée de ces technologies. La rédaction d’une directive portée par le Conseil d’État, qui chapeautera l’ensemble des démarches, est prévue.

Êtes-vous confronté-e-s au piratage de données ? Si c’est le cas, quelles actions sont entreprises ?
Nous ne disposons pas de chiffres, mais les tentatives de piratage sont fréquentes. Le SIEN travaille sur plusieurs axes pour la sécurisation de son système. Une politique générale allant dans ce sens, validée par le Conseil d’État, est mise en place. Elle se décline dans une politique plus opérationnelle de sécurité des systèmes d’information dont découle un certain nombre de directives et de procédures. Nous élaborons des campagnes de sensibilisation, qui ne concernent pas que les collaborateur-trice-s du SIEN; il faut une sensibilisation aux bons réflexes. Par exemple, ne jamais donner ses mots de passe, rester vigilant-e par rapport aux mails reçus. C’est souvent par cette voie que les criminel-le-s passent. Il y a, en permanence, un équilibre à trouver entre la communication et la protection des éléments de détail qui pourraient ouvrir de nouvelles portes aux malfaiteurs.

Qu’est-ce qui fait la spécificité du SIEN comparé à d’autres services similaires ?
Nous gérons à la fois l’informatique du canton et celle des communes. C’est une particularité spécifique à Neuchâtel. Faciliter ces flux d’information et orchestrer toutes ces données de la manière la plus efficace et la plus sécurisée est une force et un gros avantage pour le citoyen-ne. Les petites communes sont parfois démunies face aux attaques des pirates informatiques. Le niveau de sécurité est le même pour toutes les communes, peu importe leur taille.

Nous arrivons au terme de cette interview. Vous avez le mot de la fin.
Bien qu’ayant ses bureaux principaux à Neuchâtel, le SIEN souhaite renforcer son équipe de support de proximité dans le haut du canton en agrandissant l’équipe basée à La Chaux-de-Fonds. Les services de l’État, au niveau du canton, se réorganisent pour se concentrer sur deux gros sites : Neuchâtel et, à partir de 2027, La Chaux-de-Fonds. Cela justifie d’autant plus la nécessité d’une équipe multidisciplinaire basée ici, à La Chaux-de-Fonds.

Propos recueillis par
Jean Christophe Malou

Photos : Quentin Perrenoud

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Loisirs

Venez choisir le sapin parfait pour Noël

Venez choisir le sapin parfait pour Noël

La vente de sapins de Noël se tiendra comme chaque année sur la Promenade des Six-Pompes. Ce lieu est situé idéalement au cœur de la ville et à proximité du parking des Marronniers.

Cette année, deux marchand-e-s de la région, Mme Anita Hofmann et M. Florian Jacot, perpétueront cette tradition chère aux chaux-de-fonnier-ère-s.

Elle et lui seront présents du 28 novembre au 24 décembre à midi. Parmi le vaste choix de sapins proposé, tous provenant du Val-de-Ruz et du Jura, vous trouverez certainement l’arbre idéal pour illuminer vos fêtes de fin d’année.

Les stands seront ouverts du lundi au samedi de 9h à 18h30 et exceptionnellement le dimanche 22 décembre, de 10h à 14h.

Manuella Bardet, Sécurité publique

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Divers

offrez des abeilles

offrez des abeilles

À l’occasion des fêtes de fin d’année, la ville de La Chaux-de-Fonds encourage la population à acheter ses cadeaux chez les commerçant-e-s de proximité, qui sont à leur disposition pour les accueillir et les conseiller. La Ville est fière de continuer à porter la monnaie locale depuis son lancement en 2019. Environ un million d’Abeille sont chargées par année et utilisables auprès d’une centaine de partenaires (commerces, établissements publics, prestataires de service).

L’Abeille est le cadeau de Noël idéal, disponible sous forme de carte cadeau ou via une application. Il s’agit aussi d’un moyen de paiement rapide et qui ne génère pas de frais de transaction pour les commerces acceptant la monnaie locale.

Pour les fêtes, il vous est possible d’acheter des cartes ou recharger une application auprès d’une vingtaine de prestataires répertoriés sur www.carte-abeille.ch. La Caisse communale (Serre 23) propose également la recharge de carte ou l’impression de codes QR utiles aux utilisateur-trice-s de l’application. En offrant des Abeilles, vous favorisez l’économie locale et faites découvrir la richesse du tissu commercial de La Chaux-de-Fonds à vos proches.

Léonard Reichen
Chargé de commerce et coordinateur de projet

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Les éditos

La digitalisation, un défi et une chance

La digitalisation, un défi et une chance

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Depuis quelques décennies, la numérisation du monde s’accélère et devient omniprésente. Cette évolution de la société impacte directement notre vie quotidienne et si, par exemple, les anciennes générations peuvent avoir la nostalgie du téléphone en bakélite noir, force est de constater qu’aujourd’hui il est devenu quasiment impossible de se passer d’un téléphone portable.

Dans ce contexte, notre administration doit savoir saisir les opportunités apportées par cette évolution tout en relevant les défis permanents que soulève la digitalisation de l’environnement de travail. Il est primordial de garantir une qualité irréprochable des prestations tout en assurant la sécurité des données et l’intégrité des systèmes.

À cela s’ajoute la prise en compte des évolutions technologiques, qui permettent d’être plus efficient, mais dont les coûts doivent être maîtrisés. Une évolution des manières de faire et de penser est nécessaire, autant pour les services de la Ville que pour les autres collectivités. L’intelligence artificielle (IA) apporte avec elle une chance de simplifier certaines démarches chronophages et en même temps un risque tant pour la sécurité des données que leur fiabilité.

Il est primordial de garantir une qualité irréprochable des prestations tout en assurant la sécurité des données et l'intégrité des systèmes.

Face à l’importance du digital dans notre quotidien et la complexification du monde numérique, il serait hasardeux et même dangereux qu’une collectivité publique, même de la taille de la Métropole horlogère, fasse cavalier seul. Sur l’impulsion de la fusion du service informatique de l’État et de la Ville, le Service informatique de l’entité neuchâteloise (SIEN) a pu au fil des années croître en compétences en devenant une entité à la masse critique suffisante pour répondre aux multiples défis de notre temps. Cette collaboration fructueuse entre canton et commune est à relever, et en ce sens, la ville de La Chaux-de-Fonds aura été pionnière.

Le Conseil communal

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Culture

Merci Philippe Olza !

Merci Philippe Olza !

Le 31 octobre 2024, Philippe Olza a reçu un prix suisse des arts de la scène qui vient, à côté d’autres distinctions, récompenser une carrière inspirante et ponctuée d’excellence à plus d’un titre.

En effet, le fondateur de l’Association de danse neuchâteloise (ADN), soutenu par la Ville de La Chaux-de-Fonds, va prendre sa retraite après une brillante carrière tant au niveau suisse qu’à l’échelle internationale.

Homme de scène polyvalent, il a été danseur, acteur, acrobate, metteur en scène, chorégraphe et créateur de spectacles au cours de sa carrière. Ayant travaillé pour plusieurs compagnies prestigieuses, dont le Béjart Ballet de Lausanne et le Ballet du Grand Théâtre de Genève, il a été l’un des fers de lance de la scène culturelle helvétique pendant plusieurs décennies. Chapeau l’artiste et bon départ à la retraite !

Jean Christophe Malou, rédacteur
Photo : Charlotte Krieger

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Patrimoine

La Fontaine du Tricentenaire

La Fontaine du Tricentenaire

Photo : Alyssa Arricale

En 1986, la ville de La Chaux-de-Fonds célébrait les trois cents ans de l’établissement de la mairie. L’acte de naissance de la commune remonte ainsi au 2 décembre 1656, date à laquelle Henri II d’Orléans Longueville, alors Comte de Neuchâtel, signe l’autonomie de la communauté par rapport aux villages du Locle et de La Sagne.

Pour marquer cet anniversaire, les autorités souhaitent valoriser le nouveau quartier des Forges par une œuvre d’art. Elles commandent un aménagement d’envergure à l’artiste Hubert Queloz. L’Impartial du 13 décembre 1957 fait état du projet en cours, à savoir “un square avec promenoir, jet d’eau, et enfin la statue”. Hubert Queloz est alors un artiste bien installé qui possède un atelier à la rue de la Charrière et a plusieurs réalisations à son actif, dont le toboggan en pierre de la piscine des Mélèzes. 

Pour marquer le tricentenaire de la commune, il choisit de représenter l’autonomie du village par une femme portant un flambeau et entourée de colombes. Haute de 3,5 mètres, taillée dans un bloc de roc du Jura de neuf tonnes, la sculpture trouve sa place aux abords d’un carrefour important, à proximité de trois bâtiments récents : le Building 54, l’immeuble Numaga et le collège des Forges. Comme souvent dans son travail, Hubert Queloz donne des formes anguleuses et architecturées à son œuvre, lui conférant une abstraction apparente qui s’estompe lorsque l’on prend le temps de la regarder.

Sylvie Pipoz, déléguée à la valorisation du patrimoine

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À votre service

rencontre avec M. Ryser agent de déchetterie

rencontre avec M. Ryser agent de déchetterie

Michel Ryser, agent de déchetterie, nous a fait le plaisir de répondre à nos questions. Une belle occasion pour ce professionnel expérimenté de partager son expérience et sa vision du métier.

Pourriez-vous nous décrire votre parcours professionnel ?
J’ai été engagé par la commune en 1990, après 6 ans passés au zoo de Crémines, dans le Jura bernois. J’ai ensuite rejoint la petite déchetterie du Marais qui a ouvert ses portes le 1er avril 2004. J’y suis resté jusqu’en 2012, année du début d’activité de la déchetterie du Crêt-du-Locle. Aujourd’hui, je travaille alternativement aux deux endroits.

Quelle différence y a-t-il entre les deux lieux ?
L’écopoint du Marais est plutôt prévu pour les personnes habitant les quartiers est de La Chaux-de-Fonds alors que la déchetterie du Crêt-du-Locle est intercommunale. En plus des habitant-e-s de La Chaux-de-Fonds, elle accueille celles et ceux des Brenets, de La Sagne, du Cerneux-Péquignot et des Planchettes.

Comment sont distribuées les activités entre les deux endroits ?
À la petite déchetterie du Marais, les principaux déchets recueillis sont le verre, le carton, le papier, le PET, l’aluminium/fer blanc, la ferraille ménagère, les huiles, d’ailleur la quantité est réglementée (pas plus de 10 litres), les capsules Nespresso, le compost et les habits/chaussures encore en bon état. Tout ce qui est flaconnages, encombrants, bois, sagex, appareils électriques et électroniques est à amener au Crêt-du-Locle.

Comment se passent les interactions avec le public ?
Le public a besoin de beaucoup plus d’attention à la déchetterie du Crêt-du-Locle qu’au Marais, en raison de l’affluence et de la diversité des objets autorisés. Il arrive que les gens soient plus tendus quand ils apportent des objets suite à un déménagement. Autrement, le contact se passe bien. Ils sont respectueux, en général.

Propos recueillis par Jean Christophe Malou
Photos : Quentin Perrenoud

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Le coin des musées

Plumes, Poils, Paul : MUZOO célèbre l’art naturaliste avec Paul Barruel

Plumes, Poils, Paul : MUZOO célèbre l’art naturaliste avec Paul Barruel

Pour clore 2024 en beauté, MUZOO renoue avec sa tradition de mettre en avant des artistes naturalistes avec une exposition dédiée à Paul Barruel, grand maître de l’aquarelle animalière. Intitulée “Plumes, Poils, Paul”, elle rend hommage à l’un des artistes les plus talentueux et prolifiques de sa génération. Né à Paris en 1901, Barruel a marqué son époque par ses œuvres d’une précision scientifique et d’une délicatesse remarquable. Parmi ses contributions marquantes, sa participation à l’ouvrage Mammifères d’Europe (Éd. Silva) qui figure aujourd’hui encore dans de nombreuses bibliothèques suisses.

MUZOO, qui a la chance de détenir un fonds important de cet artiste hors norme, présente une quarantaine d’œuvres de l’aquarelliste, en dialogue avec des créations contemporaines imaginées par des étudiant-e-s du pôle Arts Appliqués du CPNE. Inspiré-e-s par les aquarelles de Barruel, ces jeunes pousses ont conçu des objets sur le thème des phanères – plumes, poils, becs – selon un cahier des charges établi par leurs enseignant-e-s en Bijouterie et N’Mode. Boucles d’oreilles, bijoux, vêtements et autres accessoires rendent hommage à Barruel tout en offrant une interprétation moderne et créative.

À travers cette juxtaposition, l’exposition met en lumière la résonance entre les créations des étudiant-e-s et l’œuvre de Barruel, soulignant les rôles des phanères – séduction, protection, communication – et la richesse de la représentation du vivant. Le public aura l’occasion d’apprécier le talent de la nouvelle génération, qui a su s’approprier l’univers de Barruel pour le réinterpréter de façon audacieuse.
L’exposition sera inaugurée le 13 décembre à 18h30 avec un défilé de mode et ouvrira ses portes au public le 15 décembre à 10h. Une chasse au trésor pour les enfants viendra compléter l’expérience, promettant une plongée ludique et enrichissante dans l’univers du naturalisme.

L’équipe de MUZOO
Texte et images : l’équipe de MUZOO

Le P’tit Noël de MUZOO
Le dimanche 15 décembre, de 10h à 17h, retrouvez le traditionnel P’tit Noël de MUZOO.

Venez observer les animaux du Zoo pendant qu’ils déballent leurs cadeaux lors d’un programme d’enrichissements minutieusement orchestré et commenté par les soigneur-euse-s. Cela régalera tous les animaux, humains compris! De plus, cette journée festive sera ponctuée par de nombreuses animations tout public.

Le programme sera prochainement disponible sur www.muzoo.ch.

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Le Conseil Général vous parle

Pour des commissions politiquement plus ouvertes !

Pour des commissions politiquement plus ouvertes !

Les Vert’libéraux s’engagent durablement pour une vision constructive en adéquation avec leurs valeurs centristes, orientées vers les défis climatiques et énergétiques, en répondant aux préoccupations des familles et des acteurs économiques de la Ville.

Par leur implication, les Vert’libéraux s’efforcent de créer des ponts pour construire l’avenir de notre Métropole horlogère : leur rôle dans les commissions est essentiel.

Dans ces dernières, les dossiers sont présentés, chacun-e peut discuter avec le Conseil communal, questionner les Services afin d’optimiser les séances plénières du Conseil général. Les échanges entre commissaires permettent de bâtir une relation positive, de travailler à des consensus et d’avancer les projets. Lors de la précédente législature, le bureau nous avait permis de siéger au sein de certaines commissions, en participant aux réflexions communes, sans voter, situation conditionnée par des règlements communaux alambiqués.

Les Vert’libéraux pour la législature 2024-2028 ont à cœur de continuer sur cette dynamique démocratique qui permet à chaque parti, ayant un-e élu-e siégeant au CG, de participer, activement aux travaux de commissions.

Les cheffes de groupe des petits partis ont donc réitéré cette demande, mais en vain.

Excès de zèle ou de formalisme ? Le refus du bureau n’apporte rien de positif à l’échange et à la construction de projets pour notre ville. Nous le regrettons fortement. C’est une véritable baffe à la démocratie.

À l’heure où certain-e-s clament l’inclusion à tout-va, cette mesure d’exclusion étrique le débat et augmente les clivages gauche-droite. Le bureau, qui a pris conscience qu’une amélioration est nécessaire, a déposé une motion intitulée « Réflexion sur les commissions ».

Dans ce sillage, nous avons déposé un amendement pour qu’une étude soit menée et qu’au moins un-e membre élu-e de chaque parti puisse siéger dans les commissions du Conseil général, même à titre d’auditeur-trice.

Les Vert’libéraux souhaitent maintenir un questionnement sain et constructif et verraient d’un bon œil, en attendant le grand « toilettage » du règlement des commissions et la révision de la loi cantonale des communes, que le Bureau accepte en qualité « d’invité-e-s » les élu-e-s des petits partis dans le respect des citoyen-enne-s qui nous ont élu-e-s.

Pour les Vert’libéraux
Brigitte Leitenberg – Cheffe de groupe