Le Tourbillon – Journal officiel mensuel de la Ville de La Chaux-de-Fonds

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Le Conseil Général vous parle

EAA : Ecole d’Arts Appliqués de La Chaux-de-Fonds

EAA : Ecole d'Arts Appliqués de La Chaux-de-Fonds

En date du 2 février 2023, les Conseillers généraux, les partis politiques et le Conseil communal in corpore ont solennellement soutenu, à l’unanimité, la résolution urgente interpartis qui exige le rétablissement du nom de l’École des arts appliqués (EAA) lié à la Ville de La Chaux-de-Fonds.

Le changement de l’appellation de l’EAA de La Chaux-de-Fonds pour celle de “CPNE-AA Pôle Arts Appliqués” est totalement inapproprié et inadéquat ; il efface avec une méprisable indifférence celle portant depuis 150 ans une histoire et une renommée internationale qui appartiennent au patrimoine matériel et immatériel de la ville de La Chaux-de-Fonds, au bénéfice indiscutable de tout le canton de Neuchâtel.

L’EAA fait clairement partie du patrimoine horloger de la Ville reconnue à l’UNESCO. Le nom lié à celui de la Ville est indissociable de notre histoire patrimoniale, en particulier celle de l’Art nouveau. Ce changement de nom est en contradiction choquante, il porte préjudice et nuit clairement à notre politique de promotion, reconnue dans un des axes de promotion stratégique de développement signé, de plus, sous l’égide du Conseil d’État en 2021.

Les membres du Conseil général considèrent ce changement d’appellation médiocre, inutile et sans aucun fondement logique. Ils sont indignés que cette proposition n’ait pas fait l’objet d’une réflexion avec les Autorités de notre Ville.

Le nom d’EAA “ÉCOLE D’ARTS APPLIQUÉS” de la Ville de La Chaux-de-Fonds, fondée en 1873, plus ancienne école d’Arts appliqués de Suisse, une des premières en Europe, doit impérativement être rétabli et gardé sans changement.

Qu’il soit éventuellement accompagné en dessous et en petit par “CPNE-AA Pôle Arts Appliqués” est discutable.
Par ailleurs, cette appellation ne remet pas en cause les objectifs poursuivis par le CPNE. Le maintien indispensable du nom historique “EAA” lié au nom de la Ville de La Chaux-de-Fonds, n’handicape en rien la conduite et l’organisation de l’Institution du CPNE.

Le Conseil général et le Conseil communal interpellent avec fermeté le département de la formation, le Conseil d’État et le parlement du Canton de Neuchâtel, afin de rétablir le nom : “EAA, École d’Arts appliqués de la Ville de La Chaux-de-Fonds”.

Groupe PS
Giovanni Spoletini

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Le Conseil Général vous parle

Edicule, les limites de la démocratie participative…

Edicule ; les limites de la démocratie participative...

Le 8 mai dernier, le Conseil communal a soumis au législatif une demande de crédit de CHF 686’000.- permettant la transformation et la réhabilitation de l’édicule situé sur la Place du Marché.
Le projet soumis a fait l’objet d’une démarche participative au sein de la commission ad hoc voulue par certains partis lors du débat sur la réfection de ladite place, ce qui aurait dû permettre de trouver un consensus au sein des personnes représentées dans ladite commission. Si tel a pu être le cas, le débat en plenum a pris une tout autre tournure.

Dès les premières prises de paroles, des avis divergents ont été exprimés par les groupes politiques de tous bords. Que ce soit pour des raisons de coûts de construction, de localisation du kiosque ou encore de l’aspect architectural, le projet présenté n’a pas trouvé grâce aux yeux de l’assemblée. Le “trou” prévu dans le nouveau couvert a lui aussi fait débat. Cela révèle les limites de la démocratie participative… Cette première démarche montre qu’outre une perte de temps et d’argent, il est difficile de mener à bien des projets pour lesquels un échantillon de la population donne son avis alors que ce n’est pas elle qui se prononce in fine.

Le fonctionnement institutionnel, défendu par l’UDC, nous semble ainsi être le meilleur moyen de faire aboutir les demandes de ce type, car le retour du projet de l’édicule en commission participative aboutira certainement à un résultat identique à celui que nous venons de vivre.

Notre groupe a toutefois émis un préavis défavorable vis-à-vis de cette demande. Nous accordons un attachement particulier à des dépenses publiques parcimonieuses et maîtrisées. Si nous ne contestons pas la nécessité de rénover les sanitaires, qui sont aujourd’hui dans un état peu avenant, nous sommes cependant convaincus qu’une œuvre artistique à moindre coût aurait pu être proposée, tout comme le suivi du chantier qui doit, à notre sens, être internalisé au sein des services communaux et non pas attribué à des mandataires externes.

Finalement, nous avons également été surpris que la transformation de cet édicule n’ait pas été prise en compte et budgétée lors du projet de réaménagement de la Place du Marché ce qui aurait permis d’éviter ces atermoiements.

Groupe UDC
Jean-Pierre Brechbühler

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Culture Le coin des musées Loisirs

À la recherche de la lunette perdue

À la recherche de la lunette perdue

Pierre-Louis Guinand vient des Brenets, Eugène Ducretet est français et Heinrich Rudolf Ernst est un Bernois installé à Paris. Nés entre le milieu du 18e siècle et du 19e siècle, ces trois hommes ont tous fabriqué une lunette astronomique, de magnifiques objets qui sont actuellement à admirer au Musée d’histoire de La Chaux-de-Fonds.

En 1846, un certain Célestin Nicolet, chaux-de-fonnier pleinement investi dans le développement de sa ville, commande justement une lunette à l’un de ces trois fabricants afin de mettre en place un système pour connaître l’heure exacte. S’agit-il de l’une de celles exposées ? Est-ce la plus ancienne, celle fixée sur un trépied avec son tube en bois aux six côtés dont les lentilles sont probablement en “flint glass” selon la recette de l’inventeur ? Est-ce la plus récente, tout aussi imposante et également juchée sur trois pieds, mais au tube en laiton rond et lisse ? Ou celle de dimension plus modeste dont l’absence de châssis ouvre la porte à des interprétations ?

“À la recherche de la lunette perdue” est une exposition qui raconte une enquête menée par l’historien Julien Gressot, doctorant FNS (Fonds national suisse) à l’Université de Neuchâtel. Dans le cadre de sa recherche sur l’Observatoire cantonal de Neuchâtel et les cultures de la précision, il s’intéresse à la manière dont on détermine l’heure à La Chaux-de-Fonds au milieu du 19e siècle.

Comme un détective, il explore depuis cinq ans toutes les pistes qui doivent le mener jusqu’à la mystérieuse lunette. Grâce à son récit passionnant, il nous emmène avec lui dans son aventure et nous permet de découvrir les dessous de la recherche historique.

Myriam Minder, conservatrice adjointe du Musée d’histoire.

Photos : Ci-dessous, © Aurore Sande, “Les lunettes astronomiques d’Eugène Ducretet et Pierre-Louis Guinand”.
Ci-contre : © Musée d’histoire et kombo. studio “l’historien à la recherche de la lunette”

Informations :

“À la recherche de la lunette perdue”, une exposition à voir au Musée d’histoire jusqu’au 24 septembre 2023.

Ouvert du mardi au dimanche, de 10h à 17h. Gratuit les dimanches matin, de 10h à 12h.

www.mhcdf.ch

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Loisirs

Un après-midi ludique à MUZOO

Un après-midi ludique à muzoo

Samedi 10 juin 2023 dès 13h30, l’association Pro Junior Arc jurassien, la Ville de La Chaux-de-Fonds et MUZOO, vous donnent rendez-vous pour un après-midi gratuit consacré aux enfants de 4 à 12 ans et leur famille. Au programme : des contes animés en musique, des animations et l’entrée gratuite à MUZOO !

Deux contes pour enfants seront mis en scène par les artistes Kasongo Mutombo et Federica Dal Ponte à 14h00 et 15h30. L’une des histoires raconte la mésaventure d’un enfant rejeté par les siens qui se fait accueillir auprès d’êtres différents de lui. Grâce aux contes, les enfants découvrent la diversité des cultures et en tirent de précieux souvenirs. Le jeune public s’ouvre à de nouveaux univers et développe sa curiosité dans un cadre festif.

Sur place, les enfants pourront aussi se joindre à un atelier ludique à 14h45 et 16h15, participer à un jeu-concours, déguster des spécialités africaines et même manger des insectes ! Un bar à sirops sera aussi à disposition pour se désaltérer.

Pour en savoir plus : www.proju-arc.ch

Théa Jean-Petit-Matile, cheffe de projet Kululeko.

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Formation Loisirs

Cortège des Promotions – Pod en fête le samedi 24 juin 2023

Cortège des Promotions - Pod en fête le samedi 24 juin 2023

Après deux ans d’absence, l’édition 2022 du cortège des Promotions a été un feu d’artifice sur le thème des couleurs. Une foule dense s’était déplacée pour renouer avec une tradition bien ancrée dans la vie chaux-de-fonnière. En effet, les premières promotions des écoles de La Chaux-de-Fonds remontent à 1806 soit une année après la construction du premier collège situé à l’actuelle rue Fritz-Courvoisier.

Cette année, rendez-vous est donné à la population le samedi 24 juin à 9h30. Le thème sera : “Léopold sur le Pod !” en lien avec l’exposition présentée par le Musée des Beaux-Arts de notre Ville du 14 mai au 12 novembre 2023 sur Léopold et Aurèle Robert.

À cette occasion, les classes de 1re à 6e années animeront le Pod de leurs créations festives et colorées accompagnées par divers groupes. C’est donc plus de 2’500 participants qui défileront.

Des nouvelles pancartes pour annoncer le nom des collèges seront inaugurées. Le public aura également la possibilité de participer à la collecte pour le Fonds scolaire, en espèces ou en utilisant l’application TWINT.

En cas de pluie, la manifestation sera annulée. Le n°1600 ainsi que le site eocf.ch – rubrique actualités – renseigneront dès 8 heures le jour même.

Pascal Cosandier

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Les éditos

La Métropole horlogère,  des perspectives enthousiasmantes

La Métropole horlogère,  des perspectives enthousiasmantes

La Chaux-de-Fonds, ville improbable, est née de l’industrie et s’est développée au gré de l’économie horlogère. Depuis un demi-siècle, la mono-industrie des origines s’est diversifiée, mais tout en gardant une cohérence et une complémentarité tournée vers la minutie, le précieux, la haute valeur ajoutée et l’excellence technique. 

Aujourd’hui, la Métropole horlogère est bien plus que la ville par excellence dévolue aux garde-temps, elle est un pôle de compétence technologique et d’innovation qui, au-delà des petites roues dentelées, explore les nanotechnologies, le numérique ou le cleentech, sans oublier évidemment la microtechnique.

Cette diversité est une richesse et un gage d’avenir. Connecter les différents acteurs économiques, les aider dans leurs démarches administratives lorsqu’ils veulent s’installer ou se développer, les écouter pour mieux comprendre leurs besoins sont les préoccupations quotidiennes du Service de l’économie.

La pandémie nous a fait craindre le pire ; or, aujourd’hui, notre économie régionale respire la grande forme et de nombreux projets économiques émergent. Bientôt, l’ouest de la ville verra fleurir les grues, signe d’un nouvel essor qui devrait permettre de retrouver une dynamique positive de domiciliation et une meilleure santé financière.

l'avenir n'est pas ce qui va arriver, mais ce que nous allons faire

La ville commence sa mue, une transformation profonde, mais respectueuse de son passé et de l’esprit particulier de la Métropole horlogère.

Si d’importants travaux d’infrastructure et d’aménagement changeront notre manière de vivre la ville, le développement du tissu économique, notamment en y intégrant la nécessité du développement durable, viendra appuyer l’attractivité des Montagnes neuchâteloises. Le Service de l’économie, en collaboration étroite avec les entreprises de notre région, y travaille de concert avec les autorités.

Les perspectives qui se dessinent sont enthousiasmantes, et, plus que jamais à l’instar d’Henri Bergson, nous sommes convaincus que l’avenir n’est pas ce qui va arriver, mais ce que nous allons faire.

 

Le Conseil communal

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À votre service

Jean-François Longo et son équipe nous reçoivent au cimetière

Jean-François Longo et son équipe nous reçoivent au cimetière

Ce mois, nous avons eu le plaisir de rencontrer Jean-François Longo, chef d’équipe des paysagistes du cimetière de La Chaux-de-Fonds. Ces femmes et ces hommes sont chargé·e·s de l’entretien du cimetière et de bien d’autres tâches, comme vous allez le découvrir.

En quoi consiste votre travail pour le cimetière de la Ville ?

Avec mon équipe, je suis chargé de gérer les abonnements de plantation de fleurs, leur entretien, les locations d’emplacement, qui se font en accord avec les familles, les inhumations, ou encore la mise en terre des urnes. Je m’occupe aussi des petits tracas du quotidien.

Quelle est la partie la plus difficile de votre travail ?

La mise en terre des urnes. Elle nous confronte à la tristesse des familles, ce qui est assez éprouvant. Il n’est pas donné à tout le monde de supporter de tels moments. C’est encore plus difficile quand les défunts sont jeunes.

De quels aspects de votre travail êtes-vous le plus fier ?

Je dirais que c’est de rendre le sourire aux gens. En règle générale, ils sont très satisfaits. Nous recevons régulièrement des courriers de remerciement pour notre travail et notre bienveillance. L’équipe fait son travail dans le plus grand respect des personnes en deuil. Nous sommes aussi heureux·ses de redonner de la vie aux lieux. On nous dit souvent que le cimetière fait penser à un parc fleuri et arborisé. C’est grâce aux massifs fleuris et à l’embellissement des plantations. Certains cimetières sont gris, nous on essaie de mettre de la couleur et de la vie.

Comment se déroule au quotidien votre travail de paysagiste ?

Nous plantons, débroussaillons, taillons les haies, enlevons les mauvaises herbes sur les tombes. On en laisse jusqu’à une hauteur de trois centimètres maximum autour des tombes. Ça reste vert, plus qu’à l’époque où on utilisait encore des produits chimiques pour faciliter le travail. Tout est mécanique désormais, ce qui fait plus de travail, mais est mieux pour l’environnement. Au début, les gens avaient un peu de mal à se faire à l’idée qu’il reste encore quelques herbes. À présent, ils comprennent que si on laisse la végétation reprendre au lieu de tout raser, c’est pour le bien de la nature.

Quelles fleurs trouve-t-on ici, en général ?

Cela dépend des saisons. Au printemps, nous plantons environ 15’000 pensées ainsi que d’autres plantes printanières telles que des pâquerettes et des myosotis. En été, on se tourne principalement vers les bégonias et aussi bien d’autres plantes estivales, dans les mêmes quantités. En automne, ce sont les bruyères et d’autres plantes automnales. Un peu plus de 500. L’hiver est consacré à l’entretien des machines et au nettoyage du cimetière, quand le temps le permet. Autrement, on assiste les collègues en ville pour les travaux de déneigement et de taille des arbres entre autres.

Jean Christophe Malou
Photo : Aurore Sande

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Culture Le coin des musées Loisirs

LA NUIT ET LE JOUR DES MUSÉES

LA NUIT ET LE JOUR DES MUSÉES

Que l’on soit passionné·e de musées ou non, c’est le moment de se laisser emporter dans les expositions, les visites guidées et les animations proposées lors de “La Nuit et le Jour des musées neuchâtelois”.

Cinq musées de La Chaux-de-Fonds ouvriront leurs portes gratuitement de 17h à minuit le samedi 13 mai, et de 10h à 17h le dimanche 14 mai. Une belle invitation à s’immerger dans leurs univers tout en découvrant une autre facette de ces lieux emblématiques de la Métropole horlogère.

Le Musée international d’horlogerie a conçu le programme idéal pour recharger les batteries : un nouvel espace détente avec massage, soin reiki et réflexologie plantaire attend le public au cœur du musée. Mais ce n’est pas tout : des animations pour enfants, une visite guidée les yeux bandés, la démonstration de l’automate “Grand Magicien” et bien d’autres surprises attendent toute la famille.

Le Musée des Beaux-Arts, associé au Musée d’art et d’histoire de Neuchâtel présente, sur deux sites, une exposition monographique dédiée à Aurèle Robert ainsi qu’à son frère Léopold Robert, peintre romantique ayant connu de son vivant une reconnaissance européenne et qu’une destinée tragique a auréolé de mystère. Le MBA nous transportera dans ses chefs-d’œuvre durant le vernissage, qui aura lieu le samedi à 17h, les visites flash de l’exposition temporaire, les ateliers pour enfants et d’autres activités gravitant autour de cet artiste.

Le Musée d’Histoire, quant à lui, nous plongera dans le monde fascinant de l’astronomie à travers sa nouvelle exposition “À la recherche de la lunette perdue”, mettant en valeur le travail de l’historien Julien Gressot, qui sera présent durant la manifestation. Des visites parents-enfants accompagnées de comptines, ou des visites au format court seront l’occasion de découvrir différents objets de la collection.

À 21h, Le Parc des Musées accueillera un concert live du groupe neuchâtelois “in Trees”. Trois musiciens et une chanteuse nous emmèneront dans une sorte de jungle sonore, un projet envoutant gravitant autour de la musique et de l’environnement. Un concert 100 % autonome en énergie, car il a la singularité d’être alimenté par des panneaux et des batteries solaires.

À MUZOO, c’est la biodiversité qui sera à l’honneur ! La nouvelle exposition immersive et ludique “Plan B” nous emmènera à la rencontre de notre alter ego animal. Des visites flash sur différents thèmes seront organisées, une tresse géante sera partagée durant le traditionnel brunch en famille du dimanche, et une expérience insolite est à ne pas manquer : réaliser une extraction d’ADN permettant de découvrir les liens qui nous unissent aux autres habitants de la planète bleue.

Le Musée paysan et artisanal brillera sous le thème du feu… Celui qui éclaire les nuits d’une flamme sauvage qui danse et fascine depuis la préhistoire. C’est à travers un spectacle incroyable, des contes, des visites libres à la lampe de poche, des animations pour enfants et des démonstrations des sapeurs-pompiers que le Musée paysan illuminera ces deux jours.

Entre expositions, activités originales, découvertes et ambiances conviviales, ainsi que buvette et petite collation dans certains musées, ce week-end est l’occasion d’aller à la rencontre de l’inconnu, de l’imprévu et de soi-même.

Programme complet sur www.museesneuchatelois.ch  ou sur le site de la ville www.chaux-de-fonds.ch/musees 

Sophie Amey & Francesco Garufo en collaboration avec les musées de la Ville.

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C'est quoi ce commerce ?

BOUCHERIE-CHARCUTERIE DE LA PRAIRIE

BOUCHERIE-CHARCUTERIE DE LA PRAIRIE

PerroudBoucherieLogoOK

Après une vingtaine d’années passée aux Ponts-de-Martel, la boucherie-charcuterie de la Prairie, fondée par Josette et Bernard Perroud, a déménagé il y a bientôt 3 ans à La Chaux­-de-Fonds. Ce couple d’indépendants a ainsi rejoint la ville dans laquelle ils sont nés, les parents Perroud y ont d’ailleurs tenu une boucherie durant de nombreuses années à la rue de la Serre.

L’opportunité s’est présentée de pouvoir reprendre les deux commerces (centre commercial des Eplatures et place du Marché) et le laboratoire de la Société Carnasec appartenant à la Famille Froment.

Disposant de vastes locaux (situés rue de l’Hôtel-de-Ville 101a) équipés de frigos, séchoirs et étuves pour préparer des produits certifiés “Terroir neuchâtelois”, tels que charcuteries, saucissons IGP, jambons, terrines, cette entreprise offre du travail à une vingtaine de collaborateurs·trices, dont deux apprentis, toutes et tous venant de la région.

La boucherie s’est mise sur quatre roues afin d’être présente sur les marchés de Cernier et de Neuchâtel et est régulièrement présente lors de nombreuses foires et manifestations. Elle est également active et reconnue pour ses livraisons à la gastronomie, aux collectivités et auprès des revendeurs.

Autre exclusivité reprise de l’entreprise, la viande de cheval d’Islande, dont Bernard Perroud est fier. Il ne tarit pas d’éloges, c’est une viande finement marbrée d’une tendreté exceptionnelle due à la race et aux herbages rustiques qui poussent sur cette île nordique et volcanique.

Passionné de bétail, Bernard Perroud, a également son propre élevage d’agneaux, labélisé bio, situé à Colombier sur le site de Planeyse/NE. Gardé par un berger professionnel, son troupeau passe l’été à l’alpage sous les Dents de Morcles entre les cantons de Vaud et du Valais. À l’automne, après un passage dans les vignes neuchâteloises, les bovins reviennent à Colombier.

BOUCHERIE DE LA PRAIRIE

Magasins de vente
Rue du Manège 12
032 968 35 04

Centre commercial, Eplatures 20
032 926 77 00
www.boucheriedelaprairie.ch

Dépôt et laboratoire 
Rue de l’Hôtel-de-Ville 101a
032 968 40 44 ou 032 937 20 21

Camion magasin-vente
Les mercredis au marché de Cernier (Val-de-Ruz)
Les samedis au marché de Neuchâtel (Rue du Seyon)

Activités : boucherie et charcuterie certifiée “Terroir neuchâtelois”.

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Sports

MARATHON DE WINTERTHUR

Marathon de winterthur

Avis aux sportifs, sportives et aux amateurs·trices de grand air : le dimanche 21 mai 2023 aura lieu le marathon de Winterthur avec un marathon, un semi-marathon et 10 km de course ou de Nordic Walking.

Le parcours de course se déroule autour de l’idyllique Eschenberg, sur de longues distances à travers la fraîcheur de la forêt sur d’agréables chemins de terre. Une expérience en pleine nature à ne pas manquer !

Outre le marathon et le semi-marathon pour les personnes bien entraînées, cette course propose également des compétitions pour les personnes moins expérimentées, les enfants et les marcheurs. 

Les habitant·e·s de La Chaux-de-Fonds peuvent bénéficier de conditions attractives : dans le cadre des échanges sportifs entre les deux villes, la Fondation Winterthur – La Chaux-de-Fonds offre les frais d’inscription, plus CHF 50.- pour le déplacement à Winterthur, voire même un dédommagement de CHF 50.- en cas d’hébergement sur place du samedi au dimanche.

Afin de bénéficier de ces avantages, les participant·e·s de La Chaux-de-Fonds devront s’inscrire eux·elles-mêmes sur le site du marathon :
www.winterthur-marathon.ch

Barbara Blanc, vice-présidente de la Fondation Winterthur – La Chaux-de-Fonds
Photo : winterthur-marathon