Le Tourbillon – Journal officiel mensuel de la Ville de La Chaux-de-Fonds

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Culture Santé

dans les coulisses du sismn

dans les coulisses du sismn

Le public n’a pas tari d’éloges sur la journée portes ouvertes du Service d’incendie et de secours des Montagnes neuchâteloises le 21 septembre dernier, au 36 Passage de la Bonne-Fontaine. “C’est une belle initiative. Nous sommes contents de voir le travail des sapeur·euses-pompier·ère·s au quotidien”, se réjouit une visiteuse, accompagnée de sa famille. “C’est bien organisé, on apprend beaucoup de choses et, pour une fois, il fait un temps magnifique”, confie un jeune papa dont le fils rêve d’embrasser cette profession.

La bonne humeur était aussi de mise du côté de ces professionnel·elle·s du secours, d’autant que deux semaines plus tôt, le service a reçu une distinction pour la qualité de son travail. “Il s’agit d’une certification de l’inter-association de sauvetage, comparable avec une certification ISO, mais dans le domaine du pré-hospitalier. On doit montrer tout ce qui est mis en place pour respecter les standards de sécurité”, explique Grégory Duc, chef de service du SISMN et commandant.

Certes, un grand soleil donnait à ce samedi un petit air de vacances, mais le labeur n’est jamais loin, comme le rappelle le commandant : “Nous sommes prêt·e·s à partir immédiatement en cas de demande. Toute une zone de la caserne a été consignée pour l’occasion”.

L’événement a été émaillé d’exercices, d’expositions et de diverses présentations, à l’instar de l’impressionnante simulation d’une opération de sauvetage. C’est l’occasion pour le commandant de revenir sur les sollicitations les plus courantes : “On a beaucoup de cas liés à la maladie, aux malaises, ou aux traumatismes. Il y a également les interventions spéciales, essentiellement dans les endroits retirés et fortement enneigés ou en milieu aquatique”. Puis de conclure son propos par ce précieux conseil : “Faites attention à vous! Au besoin, n’hésitez pas à appeler les numéros d’urgence : le 118 pour les incendies et le 144 pour les ambulances”.

Jean Christophe Malou, rédacteur
Photos : Aurore Sande

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Santé

Éduquer à la sexualité

Éduquer à la sexualité

Photo : Alyssa Arricale

En 2021, le Parlement des jeunes de La Chaux-de-Fonds a présenté les résultats du sondage “Qu’est-ce qui manque à La Tchaux”. Il en ressort notamment une demande d’augmentation du nombre de périodes d’éducation sexuelle, ainsi que la sensibilisation des élèves à certains thèmes tels que la diversité sexuelle et de genre.

L’évolution demandée par les jeunes a été anticipée depuis plusieurs années. L’éducation sexuelle a progressivement été renforcée au sein du cercle scolaire de La Chaux-de-Fonds, tant par l’engagement d’une spécialiste en santé sexuelle que par l’augmentation du nombre d’interventions durant la scolarité.

Certaines thématiques ont été renforcées, tel que le consentement ou la diversité sexuelle. De nouveaux sujets ont également fait leur apparition en lien avec l’évolution des enjeux sociétaux en la matière; par exemple, la pornographie ou encore la prévention des violences au sein des couples de jeunes avec l’introduction du programme national “As de cœur”.

Les thèmes abordés lors de ces cours sont en lien avec d’autres, plus larges, relevant de la promotion de la santé. C’est le cas par exemple de l’égalité des genres, la discrimination ou encore le harcèlement. Il est important de pouvoir faire des liens entre les différentes interventions afin de renforcer les messages essentiels à faire passer auprès des élèves. Le centre de santé scolaire et l’école obligatoire de La Chaux-de-Fonds (EOCF) élaborent le programme d’éducation sexuelle en fonction des recommandations cantonales, nationales et internationales, mais également en lien avec les autres enjeux afin de proposer un programme global et cohérent de la promotion de la santé. Ce programme renforce la valeur du vivre ensemble constitutif de la mission de l’École.

Il ne s’agit pas seulement d’aborder ces sujets dans le cadre de leçons, mais surtout de favoriser un climat positif et inclusif au sein même de l’établissement scolaire. En 2022, l’EOCF, le centre de santé scolaire ainsi que le Centre de santé sexuelle – Planning familial ont élaboré, en collaboration avec l’association du Refuge-Neuchâtel, un protocole de prise en charge des élèves en questionnement sur leur identité de genre. De plus, le personnel de l’école a pu bénéficier d’une formation adaptée.

La proximité et la collaboration entre la spécialiste et l’école sont importantes pour pouvoir réagir rapidement et efficacement lorsqu’une situation se présente à l’école, qu’elle concerne un·e élève ou un groupe d’élèves.

En outre, le plan d’études romand (PER) comprend des objectifs pour l’éducation à la santé sexuelle et reproductive. Ce domaine fait donc partie intégrante du programme scolaire.

Barbara Cary, infirmière scolaire, spécialiste en santé sexuelle

Fabrice Demarle, directeur à l’École obligatoire, en charge du dossier Prévention et santé

Pour aller plus loin :

L’éducation sexuelle évolue!

Jusqu’à la fin des années 90, l’éducation sexuelle en Suisse était basée principalement sur un axe de prévention notamment en lien avec la grande épidémie du VIH des années 80. Les thèmes principaux sont la prévention des infections sexuellement transmissibles et des grossesses non voulues.

Cette vision très “hygiéniste” de la santé sexuelle a connu un tournant durant les années 2000. L’établissement de la convention des droits de l’enfants permet un changement important dans l’approche pédagogique. L’enfant est vu comme un individu doté de compétences psychosociales et pouvant être actif dans son évolution. L’établissement des standards de l’OMS en matière d’éducation sexuelle en 2010 permet de renforcer le virage pris par les professionnel.le.s de ce domaine. Les droits sexuels deviennent le fondement des cours d’éducation sexuelle avec une vision qui se veut positive et inclusive.

Le canton de Neuchâtel suit cette évolution.  Dès 2015, il élabore un programme cantonal de coordination de la santé sexuelle et reproductive et établi des recommandations en matière d’éducation sexuelle pour l’ensemble des établissements scolaires. Celui-ci permet de poser les bases afin de permettre aux élèves de recevoir des informations éclairées et scientifiques et de renforcer leurs capacités d’auto-détermination.

L’éducation sexuelle en 2e année?

On peut se demande pourquoi commencer à intervenir pour les enfants de 2e. Le programme a pour objectifs de :

– acquérir une bonne estime de soi,

– reconnaître et nommer les émotions,

– oser dire non,

– oser confier un lourd secret,

– chercher de l’aide,

– donner une image positive du corps,

– parler des parties intimes et du respect du corps.

Plus précisément, cette intervention commence avec les émotions et l’intimité. Les parties intimes sont nommées avec leurs noms scientifiques. Les interdits sont abordés au moyen d’une histoire dans laquelle l’intimité de chacun-e doit être respectée. Il est parlé de l’interdit de toucher certaines parties du corps de quelqu’un et de la violence. La distinction entre ” les bons secrets” et “les mauvais secrets” sera travaillé avec les enfants. Puis, il est expliqué aux enfants comment en parler et chercher de l’aide en cas d’irrespect de ce qui précède.

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Santé Société

« Et toi, comment tu prends soin de toi ? » #LÀPOURTOI2024

« Et toi, comment tu prends soin de toi ? » #LÀPOURTOI2024

Affiche: Bureau TUK

À l’occasion de la journée mondiale de prévention du suicide (10 septembre), STOP SUICIDE lance sa campagne #LÀPOURTOI2024 sur l’impact positif des ressources personnelles, aussi appelées « facteurs protecteurs » sur la santé mentale des jeunes.

Le suicide est une thématique taboue, alors qu’il s’agit de la première cause de mortalité chez les 15 à 29 ans en Suisse. Il est donc primordial de déstigmatiser ce sujet et de sensibiliser chacun·e à la prévention. Ainsi, chaque année, STOP SUICIDE met en avant une thématique différente dans le cadre de sa campagne #LÀPOURTOI.

Cette année, les facteurs qui protègent la santé mentale sont mis en avant, notamment les relations interpersonnelles et le soutien social qu’elles permettent. Ces multiples ressources font référence aux éléments qui réduisent la probabilité qu’une personne envisage le suicide en impactant positivement son bien-être.

Pour en parler, STOP SUICIDE se tourne vers de jeunes créateur·rice·s de contenu suisses, afin de traiter cette thématique par et pour les pairs en répondant à la question « Et toi, comment tu prends soin de toi ? ».

À travers de courtes vidéos, elles et ils partagent leurs expériences sur la façon de traverser les périodes difficiles et les ressources personnelles vers lesquelles se tourner pour avoir du soutien.

Des sportif·ve·s aux chanteur·euse·s en passant par des tiktokeur·euse·s, une variété de domaines sera illustrée pour sensibiliser un maximum de cette catégorie de la population.

Parallèlement à cette campagne de prévention en ligne, STOP SUICIDE se déplace sur le terrain pour aller à la rencontre des jeunes. La liste des évènements auxquels l’association participe, ainsi que les vidéos de la campagne, sont à retrouver sur le site internet de l’association ainsi que sur Instagram, TikTok et LinkedIn.

Mandana Sadeghipour, assistante communication et prévention média

Stop suicide

Besoin d’aide ? 
Ne restez pas seul·e :  appelez le 143 (adultes) 
ou le 147 (jeunes) 24 h/7 j

www.stopsuicide.ch

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Santé Sports

Les bons réflexes en cas de noyade

Les bons réflexes en cas de noyade

Environ cinquante décès par noyade surviennent chaque année. D’après les statistiques, plus de 90 % en Suisse se produisent en eaux libres. Au moins la moitié pourrait être évitée si la population appliquait les maximes de la baignade proposées par la Société suisse de Sauvetage (SSS).

Reconnaitre la détresse : il s’agit de se rendre compte qu’une personne est en détresse. Ce qui est important, mais pas toujours facile à faire. En effet, la noyade est silencieuse dans la plupart des cas.

Donner l’alarme : une fois la détresse reconnue, il faut immédiatement alerter les secours. Une alerte tardive peut avoir des conséquences dramatiques pour la victime. Il est impératif de ne pas aller secourir soi-même, mais demander de l’aide, puis laisser les centrales de secours cordonner leurs moyens rapidement.

Contacter, au besoin, un des numéros suivants :
144 :
Urgences médicales
117 : Police secours
118 : Sapeurs-pompiers
1414 : REGA pour l’hélicoptère
112 : Numéro d’urgence européen si votre téléphone passe sur réseau étranger. Beaucoup de cours d’eau se trouvent à nos frontières.

Cours de sauvetage : pour suivre des cours de sauvetage aquatique ou terrestre, renseignez-vous sur le site SLRG-SSS.CH ou rejoignez la section de la SSS de votre région. Diverses formations existent déjà pour les jeunes. Un cours de base est proposé pour toute personne sachant nager, suivi d’une formation Plus avec des techniques aquatiques reconnues puis d’une autre, plus avancée, pour celles et ceux qui souhaitent devenir gardien·ne·s. Si vous désirez acquérir les connaissances de la réanimation et du sauvetage terrestre, une option BLS-AED, est disponible. Alors, n’hésitez pas. Rejoignez-nous.

Laurent Stofer, président de la SSS La Chaux-de-Fonds, pompier-ambulancier professionnel

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Santé

La ville et le GTIH tirent, avec la direction RHNE de La Chaux-de-Fonds, un bilan positif de 4 ans d’activité

La ville et le GTIH tirent, avec la direction RHNE de La Chaux-de-Fonds, un bilan positif de 4 ans d’activité

Photo: RHNE

Voilà 7 ans que le peuple neuchâtelois a accepté l’initiative du Groupe de travail interpartis pour les hôpitaux (GTIH) pour le maintien de deux sites de soins aigus dans le canton de Neuchâtel. Les autorités de la Ville ont des contacts réguliers avec RHNE. L’hôpital de La Chaux-de-Fonds reste sur le plan sanitaire et économique un partenaire essentiel pour la Ville et ses habitant·e·s.

Une délégation du Conseil communal (T. Brechbühler et T. Huguenin-Elie) et deux membres du comité d’initiative (J.-E. Lalive et C.-A Moser) ont rencontré la direction de l’hôpital de La Chaux-de-Fonds, conduite par C. Charmet et P. Schmitt, avec L. Exquis (Conseil d’administration), pour faire le point un peu plus de 4 ans après la mise en place du réseau hospitalier neuchâtelois (RHNE).

Ils ont dressé le bilan des exigences de l’initiative. Même si l’on fait abstraction du rôle essentiel du site du Haut dans la crise Covid, il est positif. D’importants investissements ont été consentis et le développement se poursuit.

En défendant l’autonomie, l’initiative insistait sur l’importance d’une direction propre investie dans la défense du site et de ses collaborateur·trice·s. Les directions des sites RHNE jouent bien le jeu. Deux hôpitaux autonomes au sens strict n’auraient probablement pas de sens. La répartition des tâches, avec des missions de base essentielles (médecine et chirurgie) sur les deux sites correspond bien à l’esprit du texte. Les deux hôpitaux travaillent en réseau et en complémentarité. Il existe néanmoins un déséquilibre quant au lieu d’activité principal des chefs de département qui sont nettement plus nombreux à Neuchâtel.

Reste l’épineuse question de l’utilisation du bloc opératoire la nuit à La Chaux-de-Fonds. Des progrès ont été faits dans le sens que les horaires d’interventions possibles se sont élargis. Mais, si l’on considère l’utilisation (plutôt la non utilisation) du bloc la nuit, malgré la dotation d’une équipe de piquet, on constate que RHNE privilégie le transport des patients instables plutôt que le déplacement de l’équipe dédiée. Cela peut repousser une opération au lendemain et être préjudiciable au/à la patient·e avec potentiellement des risques et des coûts supplémentaires. Dès lors, dans l’optique de renforcer la sécurité qui était la clé de voûte de l’initiative, une utilisation possible, facilitée et effective 24 h/24 du bloc opératoire chaux-de-fonnier est la préoccupation centrale du GTIH et du Conseil communal.

Le maintien d’un hôpital est un élément essentiel pour attirer des médecins en ville. Une délégation du comité du GTIH a aussi rencontré, le 15 mai, le nouveau président du Conseil d’administration de RHNE, Ph. Eckert. Il s’est montré très respectueux vis-à-vis du GTIH et attentif à ses préoccupations. Il se félicite des investissements qui ont été consentis à La Chaux-de-Fonds et partage la vision positive de la direction et du personnel du site. RHNE, comme tous les hôpitaux, est confronté à des difficultés, cependant elles sont, pour beaucoup, communes à tous les établissements et RHNE n’est pas à la traîne. 

Jean-Emmanuel Lalive et Claude-André Moser, membres du comité du GTIH et conseillers généraux.

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Santé

Roulez léger et arrivez en beauté !

Roulez léger, arrivez en beauté !

Le jeudi 2 mai 2024, le canton lance une campagne de sensibilisation mettant en avant les bienfaits et les avantages pratiques du vélo pour les déplacements au quotidien. Cette campagne « Roulez léger et arrivez en beauté ! » s’inscrit dans le cadre de la politique de mobilité et de la mise en œuvre du Plan climat.

La campagne « Roulez léger et arrivez en beauté ! » met en évidence le fait que se rendre sur son lieu de travail à vélo est bon pour la santé et permet d’avoir une activité physique sans empiéter sur le temps en famille ou les loisirs. C’est aussi un des modes de déplacement les moins chers, influençant ainsi positivement le pouvoir d’achat. Lorsqu’elle se substitue à l’usage de véhicules motorisés, la pratique du vélo participe à la réduction des gaz à effet de serre. Dans beaucoup de situations, le vélo est aussi un moyen de déplacement efficace sur de courtes et moyennes distances : il offre une grande liberté de mouvement, des déplacements fluides et un stationnement aisé. Conjugué à d’autres moyens de transport, il permet d’optimiser le temps de déplacement.

Plus d’informations sur le site Internet de la campagne.


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Formation Loisirs Santé

Moins d’écrans, un jeu d’enfant!

Moins d'écrans, un jeu d'enfant!

La carte des activités gratuites à La Chaux-de-Fonds.
Avec l’arrivée du printemps, la Ville rappelle à la population la richesse des places de jeux et des terrains de sport ouverts au public. Une invitation à sortir, à bouger et à se rassembler.

En 2018, le Centre d’orthophonie a mené une action de prévention Moins d’écrans, un jeu d’enfant! L’action était positive et interactive.

Les orthophonistes sont allées à la rencontre des gens dans les centres commerciaux pour faire de la prévention quant à la consommation des écrans. Le but était de faire réfléchir les parents à la question: «Que mettre à la place des écrans dans les mains et la tête de nos enfants?» Il était proposé aux parents des activités parents/enfants propres à favoriser le développement du langage et de la communication.

Dans le cadre de cette action, une carte de La Chaux-de-Fonds qui recense et montre de nombreuses activités à pratiquer en ville a été éditée. Ces loisirs libres et gratuits montrent aux parents qu’on peut cibler des activités qui favorisent les compétences des enfants: communication, coopération, mouvement, jeux.

Cinq ans plus tard, cette carte s’avère toujours d’une grande utilité et a été mise à jour. Elle a été transmise dans de nombreux endroits fréquentés par des parents et leurs enfants (Récif, La Trottinette, Croix-Rouge…). Cette carte est non exhaustive; elle est une base de départ de discussion entre les professionnels et les parents. Elle est un support pour communiquer autour des activités qu’un enfant peut pratiquer à la place des écrans.

Ruth Hynek Hlavizna, responsable du Centre d’orthophonie
Photo: Aline Henchoz

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Loisirs Santé Sports

David Peña, Coach de sport passionné

David PeÑa Coach de sport passionné

Pour David Peña, devenir instructeur fitness et personal trainer était une évidence. Une discipline qui lui permet d’allier sa passion pour le sport avec sa volonté d’accompagner les autres vers l’atteinte de leurs objectifs de bien-être et de performance.

Sa philosophie se résume à « sensations et mouvements justes avant tout », plaçant ainsi la sécurité au premier plan, tout en encourageant le dépassement de soi à chaque entraînement. « Vos objectifs deviennent les miens, car je m’engage à vous guider vers la meilleure version de vous-même. Je suis fier de mettre mes compétences et mon expérience à votre service, ce qui me passionne le plus c’est d’assister à votre évolution, tant sur le plan physique que personnel. C’est une source constante d’inspiration et de motivation pour moi » explique le coach.

C’est depuis 7 ans qu’il propose une gamme d’activité adaptée à divers niveaux sportifs et à un large public, sans restriction d’âge. Les sessions de coaching individuel sont conçues sur mesure en offrant un suivi attentif et des conseils personnalisés pour maximiser les résultats. Les Cours Freestyle ou Cross Training en cours collectif sont parfaits pour un entraînement énergique et motivant en groupe. Le Small Group Training offre une combinaison d’entraînement en petit groupe et de coaching individuel afin de bénéficier d’une attention plus personnalisée.

Ces cours se déroulent principalement à Let’s Go Fitness, un environnement moderne et équipé pour répondre aux besoins de tous les niveaux de fitness. David propose également des sessions d’entraînement en plein air au collège de l’Ouest afin de profiter de la nature tout en travaillant sur sa forme physique.

La pratique du sport offre une multitude de bénéfices, elle réduit les risques de développer des problèmes de santé chroniques, elle favorise une meilleure mobilité et permet d’éviter certains handicaps liés à l’inactivité telle que les blessures récurrentes et le surpoids. Quelles que soient les spécificités, je propose un soutien adapté dans le respect de la santé et des capacités de chacun·e, tout en suivant d’éventuelles recommandations médicales. Le sport contribue également à entretenir le bien-être mental en libérant des endorphines, les hormones du bonheur, ce qui aide à réduire le stress, l’anxiété et la dépression. Enfin, investir dans sa santé aujourd’hui est également un investissement pour l’avenir, en préservant sa qualité de vie et son autonomie à long terme. David Peña — © Frédéric Merz

Contact

Tél : 079 816 97 65
Mail : penadavid170@gmail.com
Instagram : @david_pena 

1) Pouvez-vous vous présenter et expliquer votre parcours professionnel ?

Je suis Peña David, âgé de 35 ans. Depuis 7 ans, je m’épanouis en tant qu’instructeur fitness et personal trainer. Mon parcours professionnel a débuté avec un apprentissage en gestion logistique, domaine dans lequel j’ai travaillé jusqu’en 2016.

Cependant, ma véritable passion réside dans le domaine du sport. Depuis toujours, j’ai été fasciné par l’aspect physique et la performance athlétique. Le football a été mon premier amour sportif, mais ma curiosité m’a poussé à explorer d’autres disciplines. J’ai découvert le monde de la salle de sport, où j’ai rapidement trouvé un terrain fertile pour développer mes compétences et partager ma passion.

En 2017, j’ai décidé de faire le grand saut vers une reconversion professionnelle afin de fusionner ma passion et mon travail. Devenir instructeur fitness et personal trainer était pour moi une évidence, car cela me permettait d’allier mon intérêt pour le sport avec ma volonté d’accompagner les autres vers l’atteinte de leurs objectifs de bien-être et de performance.

Aujourd’hui, je suis fier de mettre mes compétences et mon expérience au service de mes clients, les aidant à repousser leurs limites, à se surpasser et à découvrir le meilleur d’eux-mêmes à travers le mouvement et le dépassement personnel. Rien ne me procure plus de satisfaction que de voir mes clients progresser et atteindre leurs objectifs, tout en cultivant une passion durable pour le fitness et le bien-être.

2) Quelles activités proposez-vous et où se déroulent vos cours ?

Je propose une gamme d’activités diverses adaptées à différents besoins :

  1. Cours Freestyle ou Cross Training en Cours Collectif : ces cours sont dynamiques et axés sur une variété d’exercices fonctionnels et de mouvements naturels. Ils sont parfaits pour celles et ceux qui recherchent un entraînement énergique et motivant en groupe.
  1. Personal Training : Pour une approche plus personnalisée, je propose des sessions de coaching individuel. Ces séances sont conçues sur mesure en fonction des objectifs spécifiques de chaque client·e, offrant un suivi attentif et des conseils personnalisés pour maximiser les résultats.
  1. Small Group Training : idéal pour celles et ceux qui préfèrent l’atmosphère motivante d’un petit groupe, le Small Group Training offre une combinaison d’entraînement en groupe et de coaching individuel. Les participant·e·s bénéficient d’une attention plus personnalisée tout en profitant de la dynamique de groupe.

Mes cours se déroulent principalement à Let’s Go Fitness, un environnement moderne et équipé pour répondre aux besoins de tous les niveaux de fitness. Cependant, je propose également des sessions en extérieur au collège de l’ouest pour celles et ceux qui préfèrent s’entraîner en plein air et profiter de la nature tout en travaillant sur leur forme physique.

3) Quel niveau sportif faut-il avoir pour suivre vos cours ?

Mes activités sont accessibles à un large public, sans restriction d’âge. Les cours collectifs sont conçus pour accueillir tous les participants, offrant une expérience stimulante et adaptée à chacun.

Pour les sessions de Cross Training ou de Small Group Training, nous avons la flexibilité d’adapter les exercices en fonction des besoins spécifiques et du niveau de chaque individu, quel que soit leur âge. Ainsi, que vous soyez débutant·e ou athlète confirmé·e, vous trouverez un environnement propice à votre progression.

Le coaching personnel est également ouvert à toutes et à tous, quel que soit le niveau sportif. Chaque programme est conçu sur mesure en fonction des objectifs, des capacités et des besoins individuels, assurant un accompagnement personnalisé et efficace pour tout le monde.

4) Peut-on pratiquer ces activités en cas de handicap, blessure ou de problèmes physiques ?

Les personnes avec un handicap, une blessure ou des problèmes physiques sont les bienvenues dans mes activités. Cependant, il est important de consulter d’abord un professionnel de la santé, tel qu’un médecin ou un physiothérapeute, pour obtenir des conseils spécifiques et des recommandations adaptées à chaque cas.

Pour les personnes avec un handicap, la pratique sportive peut être bénéfique pour renforcer le corps et améliorer la condition physique, mais il est essentiel de suivre les directives médicales pour garantir une pratique sûre et appropriée.

En cas de blessure, le sport peut également jouer un rôle dans le processus de récupération, mais cela dépend de la nature et de la gravité de la blessure. Encore une fois, il est primordial de consulter un professionnel de la santé pour déterminer le meilleur plan d’action et éviter toute aggravation.

Dans tous les cas, je suis là pour offrir un soutien et des adaptations si nécessaire, afin que chacun·e puisse profiter des bienfaits de l’activité physique dans le respect de sa santé et de ses capacités.

 

5) Quels sont les avantages et les bénéfices de pratiquer ce type de sport ?

Pratiquer du sport offre une multitude d’avantages et de bénéfices pour la santé physique et mentale. Tout d’abord, l’activité physique régulière permet de développer la masse musculaire, ce qui contribue à prévenir les blessures et les tensions à long terme, tout en favorisant une meilleure mobilité et un fonctionnement corporel optimal.

Ensuite, s’engager dans une pratique sportive fonctionnelle aide à éviter certains handicaps liés à l’inactivité physique, tels que les blessures récurrentes et le surpoids. En renforçant le corps et en améliorant la condition physique générale, on réduit également les risques de développer des problèmes de santé chroniques tels que les maladies cardiovasculaires et le diabète.

De plus, faire du sport régulièrement contribue à entretenir le bien-être mental en libérant des endorphines, les hormones du bonheur, ce qui aide à réduire le stress, l’anxiété et la dépression. Enfin, investir dans sa santé aujourd’hui grâce à une pratique sportive assidue est également un investissement pour l’avenir, en préservant sa qualité de vie et son autonomie à long terme.

6) Qu’est-ce que vous aimez le plus dans votre rôle de personal trainer ?

Ce qui me passionne le plus dans mon travail de personal trainer, c’est d’assister à l’évolution des personnes, tant sur le plan physique que personnel. Rien n’est plus gratifiant que de voir mes client·e·s surmonter leurs défis initiaux, même lorsque ceux-ci semblaient insurmontables au départ, et de les voir progresser vers leurs objectifs avec détermination et succès. C’est une source constante d’inspiration et de motivation pour moi.

7) Quelle est votre philosophie en tant que coach ?

 

Ma philosophie en tant que coach se résume à sensation et mouvement juste avant tout, plaçant ainsi la sécurité au premier plan tout en encourageant le dépassement de soi à chaque séance d’entraînement. Vos objectifs deviennent les miens, car je m’engage à vous guider vers la meilleure version de vous-même.

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Divers Santé

AIDE AUX RÉFUGIÉ•E•S : L’HÔTEL-DE-VILLE ENCORE OUVERT

AIDE AUX RÉFUGIÉ•E•S :
L’HÔTEL-DE-VILLE ENCORE OUVERT

Voilà bientôt deux ans que la population de La Chaux-de-Fonds et de la région soutient une action en faveur des réfugié•e•s d’Ukraine et d’ailleurs dans des locaux de l’Hôtel-de-Ville. Ces locaux sont prêtés gratuitement par les autorités communales. Les responsables de cette action en appellent à la générosité du public pour la soutenir encore cet hiver encore.

C’est le 9 avril 2022 que ce service a débuté et, à ce jour, ce sont plus de 200 ouvertures qui ont été offertes à raison de plusieurs fois par semaine. Par milliers de kilos, du matériel a été réceptionné et distribué gratuitement aux 40 à 60 personnes venant en moyenne à chaque ouverture : habits d’hiver et d’été, chaussures, vaisselle, jouets, lingerie ainsi que tous objets divers utiles dans un ménage.

Ce ne sont pas seulement les réfugié•e•s ukrainien•ne•s qui en ont bénéficié, mais aussi d’autres personnes venues d’Afghanistan, de Syrie et de pays africains. Des sacs et des cartons d’habits ont été donnés au Centre fédéral de Boudry, d’autres sont partis directement vers des bénéficiaires en Côte d’Ivoire, au Maroc, en Ukraine bien sûr, ou plus simplement à des institutions de chez nous.

Ce service a pu se maintenir grâce à l’engagement de 20 à 30 bénévoles selon les périodes. Il se poursuivra encore jusqu’aux vacances de Pâques. D’ici là, la générosité des donatrices et donateurs ne doit pas s’essouffler. Il importe que les réfugié•e•s arrivant encore dans la région puissent toujours bénéficier de cette aide gratuite.

Le groupe d’organisation et les bénévoles notent toutefois une baisse d’affluence et le retour régulier de personnes qui ont pris l’habitude de venir voir les nouveautés sur les étalages. Pour l’essentiel, l’action a atteint ses buts : fournir gratuitement des vêtements et des objets de première nécessité. À l’avenir, en fréquentant les structures traditionnelles de seconde main, les visiteuses et visiteurs de l’Hôtel-de-Ville pourront intégrer de nouveaux circuits et faire d’autres connaissances.

La fermeture printanière s’explique aussi par la perspective, pour les autorités de la Ville, de réaménager ces locaux pour de nouvelles utilisations.

Au nom des responsables de cette action : Rémy Gogniat
Photos : © Aurore Sande

Ouverture des locaux (réception et distribution) par la rue de la Boucherie, tous les lundis et vendredis (sauf vacances scolaires) de 17 h à 19 h. Contact : 079 401 30 44.