Le Tourbillon – Journal officiel mensuel de la Ville de La Chaux-de-Fonds

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Divers Sports

Panathlon Family Games®: sport pour toutes et tous

Panathlon Family Games®: sport pour toutes et tous

Le dimanche 14 septembre 2025, le Centre sportif de la Charrière à La Chaux-de-Fonds accueillera la 7e édition des Panathlon Family Games®. Organisé par le Panathlon des Montagnes Neuchâteloises, en collaboration avec les services de la Ville de La Chaux-de-Fonds, cet événement gratuit et convivial invite petits et grands à s’initier à plus de trente disciplines sportives, dans un esprit de découverte, de partage et d’inclusion.

Entre 9h et 16h30, les visiteur-euse-s pourront s’inscrire gratuitement à l’accueil (entrée principale), recevoir un pass et un plan, puis composer librement leur parcours. Chaque stand, tenu par un club ou une association locale, permettra de tester une activité, d’échanger avec les encadrant-e-s et de s’informer sur les possibilités de pratiquer la discipline dans la région. Les bénévoles, véritables chevilles ouvrières de la manifestation, seront présent-e-s pour orienter.

L’inclusion sera à nouveau au cœur de la journée : grâce au partenariat avec Special Olympics Switzerland, plusieurs clubs accueilleront les enfants, adolescent-e-s et adultes en situation de handicap, conformément à la philosophie du programme “Unified”. Cette démarche permet à chacun-e, quelle que soit sa condition, de trouver sa place et de profiter pleinement de l’événement.

L’édition 2024 a rassemblé 33 clubs et près de 2’000 participant-e-s, confirmant le succès grandissant de ce rendez-vous désormais inscrit dans l’agenda sportif régional. Chaque année, de nouvelles inscriptions aux clubs locaux témoignent de l’impact concret de cette journée sur la vitalité du tissu associatif et sur le dynamisme sportif de tout le canton.

Rendez-vous le 14 septembre pour une journée ouverte à toutes et à tous, à vivre en famille ou entre ami-e-s ! Plus d’informations sur :
panathlon-mne.clubdesk.com/family_games

Yann Moulinier, président des Panathlon Family Games®

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Loisirs Sports

Réouverture de la piscine des Mélèzes

Réouverture de la piscine des Mélèzes

Le samedi 21 juin dernier, l’ambiance était à la fête à la piscine des Mélèzes. Ce haut lieu sportif et récréatif célébrait sa réouverture après plusieurs mois de travaux. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les Chaux-de-Fonnières et Chaux-de-Fonniers n’ont pas boudé leur plaisir.

« C’est formidable, en tant qu’habituées, de retrouver une piscine toute neuve, rajeunie », se réjouissaient deux cinquantenaires. « C’est très sympa, des journées comme celle-là. Voir autant de monde autour de la piscine, ça fait plaisir », confiait un monsieur.

En effet, la population a été massivement présente au rendez-vous. Les vastes pelouses arborées entourant le bassin principal étaient occupées par un public enthousiaste : familles et groupes d’ami-e-s venu-e-s pique-niquer, se baigner et profiter des festivités, tout en redécouvrant les lieux.

Les changements incluent un nouveau système de traitement de l’eau, des bassins en inox à débordement, un espace non nageur élargi et équipé d’un courant rapide, une pataugeoire entièrement refaite, des jeux d’eau pour les plus petit-e-s, ainsi qu’un double terrain de beach-volley. La liste n’est pas exhaustive, mais elle donne un aperçu du travail accompli.

« C’est un lieu cher aux Chaux-de-Fonnières et Chaux-de-Fonniers. Nous nous devons de leur offrir des infrastructures de qualité. L’un des grands défis de ce projet, c’est de répondre aux attentes des utilisatrices et utilisateurs », précisait le conseiller communal en charge des sports, Thierry Brechbühler. Et de poursuivre : « Il s’agit d’un véritable point de repère, un petit coin de paradis et de fraîcheur au cœur de notre métropole horlogère, qui offre la possibilité de suspendre le temps dans le rythme du quotidien. »

Comment ne pas exprimer toute notre reconnaissance au Service des sports ? Grâce à une mobilisation sans faille tout au long des travaux, celui-ci a joué un rôle capital dans la renaissance de ce lieu, comme l’a bien exprimé lors de son discours son chef, Michel Villarejo.

Jean Christophe Malou, rédacteur
Photo : Damien Robert-Tissot

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Loisirs Sports

karaté : Gioia, l’ÉTOILE chaux-de-fonnière

karaté : Gioia, l’ÉTOILE chaux-de-fonnière

Photo : Kjetil Waber

Notre Ville recèle des pépites méconnues qui ne demandent qu’à être mises en lumière. Seule fille de Suisse romande à intégrer la sélection helvétique de karaté dans sa catégorie d’âge, Gioia Pace, 12 ans, est l’une d’elles.

Pratiquant cet art martial depuis l’âge de 6 ans, l’adolescente affiche un palmarès remarquable. Précisons qu’il existe deux types de compétitions en karaté, le kumité, qui correspond au combat et le kata, qui est un concours de chorégraphies techniques. Dans les deux cas, Gioia brille tant au niveau cantonal qu’à l’échelle nationale.

Photo : Salvatore Pace

Si en 2023, elle est championne à la Swiss League à Neuchâtel, l’année suivante va se révéler encore plus prolifique avec pas moins de 10 podiums nationaux, dont plusieurs médailles d’or. 2025 promet aussi son comptant de titres, dont plusieurs internationaux en perspective ; Espagne au mois d’avril, Croatie en juin, Pologne en octobre et Italie en décembre.

La clé de ce succès ? Beaucoup de travail, bien entendu, mais aussi le soutien de ses coaches, de ses mentors, mais surtout de sa famille. “Quand j’étais petite, je pratiquais plusieurs sports. Une fois, dans les vestiaires, ma mère a été témoin par hasard d’une agression physique que j’ai subie. Suite à cela, elle a voulu que j’apprenne à me défendre. C’est grâce à elle que j’ai commencé le karaté”, confie cette fille unique qui porte haut les couleurs de notre cité.

Seule ombre sur le tableau : le coût (très) élevé du sport de haut niveau. Une campagne de financement participatif (via le code QR ci-joint) est d’ailleurs lancée pour faire en sorte que la jeune championne ne s’arrête pas en si bon chemin.

Jean Christophe Malou, rédacteur

Pour soutenir la jeune championne : www.gioiapace.ch

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Sports

La Trotteuse-Tissot 16e Édition

La Trotteuse-Tissot 16e Édition

Le 14 décembre, dès 14h45, la Trotteuse-Tissot accueillera des centaines d’enfants enthousiastes prêts à franchir la ligne de départ. Grâce au généreux soutien du TCS Neuchâtel, ils seront nombreux à pouvoir courir gratuitement. Rires, énergie et émotions seront au rendez-vous pour une journée inoubliable, avec en point d’orgue la fameuse course des pères Noël.

Dès 16h30, place aux plus grand-e-s ! Dans une ambiance féérique, ils-elles s’élanceront sur le parcours Grande Complication pour relever le défi, encouragé-e-s par la ferveur du public.

La Chaux-de-Fonds se transformera en un véritable lieu de fête. Les troupes circassiennes émerveilleront les spectateur-trice-s avec des prestations captivantes, tandis que des orchestres locaux créeront une atmosphère festive tout au long du parcours.

Au fil de la journée, la tente officielle Tissot accueillera familles et ami-e-s sur la place de l’Hôtel-de-Ville. Animée par deux clubs locaux, elle sera un lieu de rencontre idéal pour échanger, se restaurer et applaudir les vainqueurs.

Informations et inscriptions sur la page www.latrotteusetissot.ch. Célébrons ensemble la passion de la course dans une ambiance conviviale et festive, où chacun-e trouvera sa place !

Maude Mäder et Simon Thomet, co-présidents pour le comité d’organisation

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La parole aux acteurs Sports

Véritable pôle vélo dans les Montagnes : espaCyclette est né

Véritable pôle vélo dans les Montagnes : espaCyclette est né

Photo : Aurore Sande

À la rue Daniel-Jeanrichard 5, derrière l’Heure Bleue, l’atelier de vente et réparations de vélos, La Vieille Reine, s’est associé à la coopérative de livraison à vélo la Cyclone pour promouvoir le vélo pour tout un chacun et créer un pôle de compétences attirant des professionnel·le·s du monde du vélo en un même lieu.

Son but ? Encourager activement l’utilisation du vélo pour améliorer la qualité de vie, réduire les émissions de dioxyde de carbone ainsi que dynamiser l’économie locale.

Alternative aux livraisons en voiture, la Cyclone permet d’effectuer des livraisons à vélo, de la livraison express sur appel et à travers toute la Suisse grâce à son réseau d’entreprises de coursier·ère·s, aux livraisons régulières de proximité.

Active depuis 2021, elle compte une quinzaine de personnes salariées.

Quant à la Vieille Reine, depuis 2018, cet atelier restaure, répare et valorise les vélos d’occasion pour tous les budgets. Actuellement, trois personnes y travaillent.

EspaCyclette, né de leur collaboration, est un pôle de promotion et de compétences.

Il accueille des collaborateur·rice·s DÉFI VÉLO et PRO VELO Suisse, le comité des Championnats du monde d’hiver de coursier·ère·s à vélo (WCMWC) mais aussi, ponctuellement, les activités de la nouvelle association cycloféministe de Bienne et La Chaux-de-Fonds « Clip Clip Tulipe ».

S’y ajoute un chaleureux espace de co-working proposé aux organisations et associations de la région, diversifiant les synergies. Ainsi, l’atelier d’écriture EcriStoire de Florence Galland y organise des ateliers de groupe et des suivis personnalisés.

Développer des réseaux, promouvoir une véritable culture du vélo sous toutes ses formes est au fond un choix idéologique. Faire du vélo est bon pour la santé, pour notre ville, pour la planète et c’est un outil d’émancipation et d’autonomie qui permet de se réapproprier son moyen de locomotion.

Restera à disposer d’un véritable réseau de pistes cyclables et de stationnement adéquats en ville.

Florence Gallad, EcriStoire

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Sports

Une Chaux-de-fonnière aux Jeux olympiques

Une Chaux-de-fonnière aux Jeux olympiques

Avec le casque rouge, à gauche : Pauline Brunner Photo : Team Bizzi

Pauline Brunner, épéiste chaux-de-fonnière, a représenté la Suisse lors des récents Jeux olympiques de Paris. Pour le plus grand plaisir des lectrices et lecteurs du Tourbillon, elle partage cette expérience exceptionnelle dans une vie de sportif·ve.

Comment en êtes-vous venue à pratiquer l’épée ?
Lorsque j’ai déménagé avec ma famille, vers mes 6 ans, dans le quartier des Arêtes à La Chaux-de-Fonds, j’allais à la piscine avec ma mère et mon frère. C’est là que j’ai vu les escrimeur·se·s s’entraîner, vêtu·e·s de blanc, par les grandes baies vitrées. J’ai voulu essayer et j’ai adoré. C’est comme ça que tout a commencé.

Quel rôle a joué La Chaux-de-Fonds dans votre parcours ?
À La Chaux-de-Fonds, je suis à la maison. J’y ai grandi et fait toutes mes classes. Une majeure partie de ma famille y vit.

Quels enseignements avez-vous tirés de votre participation aux J.O. ?
Il est encore un peu tôt pour en tirer des enseignements importants. Cela fait quelques semaines à peine que je suis de retour de Paris ! Mais je pense que cette expérience me permettra de mieux gérer le stress pour les compétitions à venir. J’y avais déjà beaucoup travaillé en vue des Jeux.

Pouvez-vous nous dire un mot sur l’ambiance à Paris en général ?
L’ambiance dans le Grand Palais (où la compétition avait lieu) était géante ! Tellement de personnes sont venues regarder l’escrime : 7’000 spectateur·trice·s ! Quand on a l’habitude d’en avoir au grand maximum 1’000, c’est quelque chose ! Au village, c’était sympa de voir des athlètes de tous les pays vivre au même endroit.

Et comment était l’ambiance dans la team suisse ?
Comme ma compétition était au début des jeux, il n’y avait pas encore beaucoup d’athlètes suisses présent·e·s, mais l’ambiance dans la team suisse était bonne. On avait aussi une excellente et très gentille équipe de physios et de médecins. Même si je n’ai malheureusement pas pu participer à la cérémonie d’ouverture, j’ai pu échanger et faire connaissance avec les participant·e·s lors du regroupement avant leur départ du village pour la cérémonie.

Pauline Brunner, à droite, sur le site des Jeux olympiques de Paris

Quels sont vos projets pour la suite ?
Continuer de pratiquer l’escrime professionnellement et, si le plaisir reste et que le corps tient, tout faire pour aller aux Jeux de Los Angeles !

Jean Christophe Malou, rédacteur

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Santé Sports

Les bons réflexes en cas de noyade

Les bons réflexes en cas de noyade

Environ cinquante décès par noyade surviennent chaque année. D’après les statistiques, plus de 90 % en Suisse se produisent en eaux libres. Au moins la moitié pourrait être évitée si la population appliquait les maximes de la baignade proposées par la Société suisse de Sauvetage (SSS).

Reconnaitre la détresse : il s’agit de se rendre compte qu’une personne est en détresse. Ce qui est important, mais pas toujours facile à faire. En effet, la noyade est silencieuse dans la plupart des cas.

Donner l’alarme : une fois la détresse reconnue, il faut immédiatement alerter les secours. Une alerte tardive peut avoir des conséquences dramatiques pour la victime. Il est impératif de ne pas aller secourir soi-même, mais demander de l’aide, puis laisser les centrales de secours cordonner leurs moyens rapidement.

Contacter, au besoin, un des numéros suivants :
144 :
Urgences médicales
117 : Police secours
118 : Sapeurs-pompiers
1414 : REGA pour l’hélicoptère
112 : Numéro d’urgence européen si votre téléphone passe sur réseau étranger. Beaucoup de cours d’eau se trouvent à nos frontières.

Cours de sauvetage : pour suivre des cours de sauvetage aquatique ou terrestre, renseignez-vous sur le site SLRG-SSS.CH ou rejoignez la section de la SSS de votre région. Diverses formations existent déjà pour les jeunes. Un cours de base est proposé pour toute personne sachant nager, suivi d’une formation Plus avec des techniques aquatiques reconnues puis d’une autre, plus avancée, pour celles et ceux qui souhaitent devenir gardien·ne·s. Si vous désirez acquérir les connaissances de la réanimation et du sauvetage terrestre, une option BLS-AED, est disponible. Alors, n’hésitez pas. Rejoignez-nous.

Laurent Stofer, président de la SSS La Chaux-de-Fonds, pompier-ambulancier professionnel

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Loisirs Sports

Du football américain à la Chaux-de-Fonds

Du football américain à la Chaux-de-Fonds

Le club de Football américain des Hornets de La Chaux-de-Fonds a été fondé en 2010 par six amis, anciens joueurs d’autres équipes de la ligue romande (NSFL). Le symbole du frelon (« Hornet » en anglais), qui représente cette équipe, n’est pas anodin. Parent éloigné de l’abeille, emblème de la ville de La Chaux-de-Fonds, il se montre agressif lorsque son nid est menacé. Il incarne les valeurs fondamentales du club : esprit d’équipe, motivation et persévérance, résumées dans un cri de ralliement : « We are srong, we are a swarm, we are the hornets » (nous sommes forts, nous sommes un essaim, nous sommes les Hornets).

Les premiers entraînements ont débuté au printemps 2011. En 2015, une équipe mixte de Flag (sans contact) a été créée et a participé pour la première fois au championnat Flag NSFL. Aujourd’hui, le club compte une quarantaine de licencié·e·s en Flag dont plusieurs jeunes ont rejoint l’élite du pays.

Les Kids forment un essaim en constante expansion, que nous espérons pouvoir inscrire, l’année prochaine, au championnat national.

Du côté du coaching staff, Eric Marques, entraîneur Flag et Kids, a été nommé entraîneur assistant de l’attaque pour l’équipe nationale Flag U15, une aventure qui a commencé en 2024.

L’équipe Tackle (avec contact) est en pleine reconstruction et recherche activement de nouveaux joueurs. Une collaboration avec l’équipe de Neuchâtel a été mise en place pour offrir du temps de jeu aux membres et aider les Knights à combler leur manque d’effectif.

Une nouvelle enthousiasmante est tombée en novembre 2023 : le CIO a annoncé l’intégration du Flag football (sans contact) comme discipline olympique aux Jeux de Los Angeles en 2028.

Les Hornets de La Chaux-de-Fonds sont résolument tournés vers l’avenir, déterminés à laisser leur empreinte dans le paysage sportif suisse et international.

Kevin Aellen
Directeur technique AFC Hornets
Photo : Les Hornets

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Loisirs Sports

Au rythme du CAD… de la danse et de la cadence

Au rythme du CAD... de la danse et de la cadence

1974 — 2024… voici 50 ans que le CAD (Club Amateurs de Danse) épanouit les amateur·trice·s de danse. 50 ans d’apprentissage de cet art, de perfectionnement, d’exercice sportif et de bonne humeur.

Ces heures passées entre passionné.e.s sont des moments de partage, de convivialité, mais aussi de patience, car maîtriser les danses de salon, latines et standard, ne s’improvise pas. Figures, positions, pas et rythme s’acquièrent au jour le jour dans une atmosphère détendue, où chaque participant·e évolue à son rythme. Valse anglaise, viennoise, tango, cha-cha-cha, samba, salsa, pour ne citer que celles-là, font partie de la riche palette de choix disponibles. Pour une expérience diversifiée, le CAD n’hésite pas à se rapprocher des clubs de danse dans un esprit de partage et de recherche de synergies communes. Si certaines personnes ont rejoint d’elles-mêmes les rangs du CAD, d’autres se sont laissées convaincre et, le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elles ne l’ont pas regretté. C’est le cas de Jean-Michel Dubois, président du club. « Je ne savais pas mettre un pied devant l’autre, sauf dans les bals populaires de notre époque qui se résumaient à la marche et à la valse, se rappelle-t-il, désormais président du club, mais mon épouse m’a dit un jour : tu viens ou tu ne viens pas, moi je vais suivre un cours de danse ! »

Les locaux, sis rue de la Paix 124, sont ouverts aux aficionados tous les lundis, mercredis et jeudis soir. Les mercredis sont consacrés aux cours d’initiation et à la mise à jour dans les figures pratiquées. Ces derniers, pris en charge par un animateur, ont lieu une fois par mois. Non content de le faire bénévolement, cette personne, également membre du comité, ne se lasse pas d’attirer des amateur·trice·s de tous horizons.

La danse se déploie dans toute sa richesse lors de ces soirées, en particulier pendant les événements « BAL Ô CAD », gratuits et sans engagement, dont toutes les dates sont indiquées sur la photo.

Eric Senart, Secrétaire