Le Tourbillon – Journal officiel mensuel de la Ville de La Chaux-de-Fonds

Journal officiel mensuel
de la Ville de La Chaux-de-Fonds

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Culture

Afterwork des musées le 31 août 2023

Afterwork des musées le 31 août 2023

Pour ce dernier jour du mois d’août, les très attendus afterworks des musées de la Ville de La Chaux-de-Fonds font leur rentrée au Musée international d’horlogerie.

Un temps dansant : “Pièce de poche” par (La) Rue Serendip
Après une résidence de deux semaines au Musée international d’horlogerie en 2021, enveloppés dans une ambiance horlogère, les danseurs de la compagnie chaux-de-fonnière (La) Rue Serendip ont ponctué une partie de leur délicieux spectacle “Pièce de poche” d’éléments relatifs à la mesure du temps.

Au programme :

  • 17h30 :  Représentation de danse “Pièce de poche” par (La) Rue Serendip
  • 18h30 Visite flash du musée avec démonstration d’automates
  • 19h15 Représentation de danse “Pièces de poche” par (La) Rue Serendip

La démarche générale de la compagnie (La) Rue Serendip, habituée aux spectacles de rue aussi bien qu’aux théâtres, est de créer des pièces pour tous types de lieux, en extérieur ou en intérieur ; dans des lieux “extra-ordinaires”, c’est-à-dire des lieux plus communs et universels. Cette démarche leur permet d’aller à la rencontre d’un public de tous âges et classes sociales, de danser dans la rue, dans les écoles et, pour l’occasion, dans un musée !

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Loisirs

Fête des réaménagements urbains

Fête des réaménagements urbains

Mise à jour du 27 juillet 2023 : la manifestation est annulée, suite aux intempéries du 24 juillet

Le samedi 12 août 2023, sur la place Espacité, venez fêter et visiter, en présence de représentants et représentantes de la Ville, les réaménagements urbains réalisés ces dernières années. Une occasion de les découvrir autrement et de poser vos questions.

Dès 10h15 : atelier contrôle et réglage de vélos, compagnie Balor et ses vélos-à-tout-faire, mini-gymkhana pour enfants à vélo, jeux et craies, panneaux d’information sur la mobilité, stands d’associations. À 10h30 et 13h30 : départ des parcours à pied (env. 2,5 km) et à vélo (env. 7 km), avec son propre vélo ou un velospot. Les enfants sont les bienvenus, accompagnés d’un parent ou d’un adulte. 

Chacun•e•s participe sous sa propre responsabilité. Les parcours pourront être téléchargés et effectués de manière autonome également. Un quiz aura lieu durant les parcours. 

À 12h : apéritif avec le vin de la Ville, nourriture et boissons. Prenez votre vaisselle ! À 15h : tirage au sort de lots offerts ouvert à toutes et tous.

Bienvenue à chacune et chacun !

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La ville racontée à travers ses rues

La ville racontée à travers ses rues : Rue de Jérusalem

La ville racontée à travers ses rues : Rue de Jérusalem

A partir des années 1830, La Chaux-de-Fonds voit naître et grandir une communauté juive venue principalement d’Alsace. Vivant un important développement au fil du 19e siècle, la communauté va se doter de deux lieux de culte dans des appartements privés, puis, en 1863, d’une première synagogue à la rue de la Serre 35 (aujourd’hui détruite). En 1896, la communauté, qui avoisine les 1’000 membres, inaugure la synagogue que nous connaissons aujourd’hui, au centre-ville.

Entre 1818 et 1848, l’installation des juifs sur le territoire neuchâtelois est fortement réglementée par le Conseil d’État. L’interdiction perdure à La Chaux-de-Fonds jusqu’en 1857, avec quelques exceptions. Tel fut le cas en 1849 lorsque le Grand Conseil neuchâtelois autorise un israélite, Moïse Woog, à acheter une maison au nord du village. Située alors à la rue de la Sombaille, cette maison, puis la rue où elle y est bâtie, sont rapidement appelées « Jérusalem » par les villageoises et les villageois. Cette expression a finalement donné sur son officiel à la rue.

Sylvie Pipoz, déléguée à la valorisation du patrimoine.
Photos : Nolan Crelier

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Regards croisés

Et toi, qu’est-ce que tu voudrais faire quand tu seras grand ?

Regards croisés : et toi, qu'est-ce que tu voudras faire quand tu seras grand ?

Vous savez, moi je suis riche sans être riche. L’argent ça ne m’intéresse pas. Je prends tout ce qui vient et c’est mon bonheur, finalement.

Parfois, il nous arrive de rencontrer de sacré personnage… et bien cette fois-ci, j’ai rencontré THE personnage !

Pour le premier participant senior masculin de Regards Croisés, nous pouvons l’affirmer, Dominique Marti ouvre la danse avec brio. 

Du peps, du soleil, de la bonne humeur, Dominique est une barre énergétique hyperprotéinée à lui tout seul. Il se laisse porter là où son esprit vif et original le mène. Son éloquence captive et égaye l’instant. Attention, l’orateur du foyer de jour du home Le Temps Présent est dans la place ! Il fait tourner les phrases et valser le verbe, et il s’en amuse. Son discours « made in Marti » est une aventure qui n’appartient qu’à lui, mais qu’il partage avec plaisir.

Sa vie de policier et agent de la circulation, éducateur, président de la société de St-Jean, chanteur dans la chorale de la police, musicien-compositeur, joueur de piano et d’orgue, peintre… Non sa vie ne se résume pas, elle s’écoute  ! 

au fond, De gauche à droite : LOU 6 ANS & DEMI,
LYAM 7 ANS, Leana 7 ans devant : Elynha 7 ans & demi. ils sont En 3e année au collège de Numa-Droz

Lorsque je me retrouve face à quatre drôles de petits phénomènes de 6 et 7 ans, attachants et rigolos, je me demande ce qu’ils vont bien pouvoir me raconter. Je prépare toujours des sujets et des questions à l’avance et puis, au final, le thème dérive. C’est eux qui mènent la barque, il fait bon se laisser porter par l’imagination et l’originalité d’un enfant.

Ce Regards Croisés s’intéresse aux « métiers de ses rêves ». Le sujet semble intéresser mes interlocuteurs et interlocutrices. Les quatre bambins savent ce qu’ils veulent faire plus tard et surtout, ils savent ce qu’ils ne veulent PAS faire ! « Je veux être pompier et sauver les gens, comme dans NCIS » répond Lyam, qui parlera à plusieurs reprises de sa série préférée. « Je ne veux pas avoir de patron, mais je ne veux pas en être un non plus », « un homme et une femme peuvent faire les mêmes métiers, les femmes ne sont pas moins fortes ! », ou encore « je ne veux pas faire comme mes parents ».

La vérité sort elle de la bouche des enfants comme le dit le dicton ? Si c’est le cas, elle est parfois difficile à entendre, et d’autre fois, elle est encourageante. Quoi qu’il en soit, elle occasionne systématiquement une bonne séance de rire et de surprise.

Textes, photos & audio : Sophie Amey

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Divers

Grand-Pont : avancée des travaux

grand-pont : avancée des travaux

Les travaux de démolition et de reconstruction du Grand-Pont ont débuté en mars 2023 et se déroulent dans de bonnes conditions. Le mois de juin a été marqué par la phase de démolition de l’ancien ouvrage, puis par la construction des fondations. Le Tourbillon s’est rendu sur place durant le démontage et l’évacuation des poutres qui pèsent, pour les plus lourdes, 66 tonnes et mesurent 25 mètres de longueur. Une impressionnante manœuvre !

Michel Thomann, ingénieur civil au bureau GVH La Chaux-de-Fonds, membre du groupement de mandataires pour le remplacement du Grand-Pont, nous renseigne sur le chantier en cours :

De mars à mai, les opérations se sont principalement déroulées « dans l’ombre », sans démolition réellement visible. Quels ont été les divers travaux réalisés durant cette période ?
Avant de pouvoir démonter l’ouvrage avec une grue, il a fallu l’alléger un maximum. Le revêtement a donc d’abord été retiré, les bordures en béton ont été sciées et les trottoirs en béton ont été partiellement démolis. Ensuite le tablier en béton a été scié longitudinalement et transversalement pour séparer les 70 poutres les unes des autres. Il s’agit d’un important travail, partiellement effectué de nuit au-dessus des voies CFF. Des mesures de sécurisation et de stabilisation provisoire ont en outre été prises pour garantir la sécurité de ces poutres contre le basculement une fois sciées. Dès l’achèvement des travaux de sciage, une grue de forte capacité a été engagée pour démonter les 70 poutres. Ce travail spectaculaire a été réalisé en moins de 2 semaines, partiellement de nuit. Enfin, les piliers en béton, 30 pièces, ont également été sciés à leur base et démontés à la grue. Au total, ce sont exactement 100 transports exceptionnels qui ont été nécessaires pour évacuer la totalité de la structure de l’ancien ouvrage jusqu’au dépôt de l’entreprise à Coffrane, où le béton a été croqué pour permettre le tri et le recyclage des matériaux.

Qu’est-il planifié pour cet été ?
Les travaux de reconstruction ont débuté le 20 juin avec le début du forage des pieux du nouvel ouvrage. Les pieux sont des cylindres de 1m20 de diamètre en béton armé coulés dans le sol jusqu’à une profondeur de 35 m, qui servent à transmettre au terrain les charges du nouvel ouvrage. Les fondations sur pieux permettent de contrôler les tassements, ce qui n’était pas le cas de l’ancien pont dont certaines piles avaient tassé de plus de 10 cm depuis la construction ! Ces travaux sont peu spectaculaires, mais très importants, car la bonne qualité des pieux est la garantie de la stabilité à long terme de l’ouvrage.
Dès le mois de juillet, les nouvelles piles, qui reposent sur les pieux, vont être réalisées. Elles soutiendront le tablier. Leur géométrie a été inspirée des fameux « pilotis » de Le Corbusier.
Les premiers éléments en acier du nouveau tablier seront acheminés sur chantier vers la mi-septembre, en provenance des ateliers de construction métallique situés à Bulle.

Quel est le meilleur point de vue pour observer le chantier ?
Le chantier n’est pas accessible au public, pour d’évidentes raisons de sécurité. Pour faciliter l’observation des travaux, une plateforme publique provisoire a été construite à l’extrémité sud-est de l’ouvrage, en bordure de la Rue du Commerce, en dehors de l’emprise du chantier. Des panneaux d’informations y sont disposés, ils renseignent sur l’histoire du Grand-Pont et présentent des extraits des plans permettant de s’imaginer le futur ouvrage. Une visite s’impose dès cet été !


Michel Thomann/Photos : Sophie Amey

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Le Conseil Général vous parle

Se donner les moyens d’investir, pour l’avenir

Se donner les moyens d'investir, pour l'avenir

Notre Ville prévoyait un déficit de CHF 14 millions. Au final, celui-ci n’aura été « que » de CHF 6,7 millions. Un résultat en demi-teinte.

Tout d’abord, il est utile de le rappeler, notre Ville fait face à plusieurs circonstances qui rendent l’équilibre budgétaire délicat. Emprunts toxiques, péréquation fédérale mal redistribuée, etc. De plus, comme tous les centres urbains, elle souffre de la concurrence fiscale puisqu’elle propose des infrastructures au bénéfice de tous (Muzoo, bibliothèques, piscines, etc.), mais financées par nos seuls contribuables. Enfin, une bonne partie des finances de la Ville dépend de décisions prises à l’échelon cantonal. La situation est la même pour les autres communes, Neuchâtel ne devant par exemple son résultat positif qu’à la réévaluation de son patrimoine, lui évitant d’afficher un déficit de CHF 16 millions.

Nos comptes 2022 suscitent tout de même quelques interrogations.

Tout d’abord, il y a une différence importante entre le budget et les comptes relatifs aux investissements, de l’ordre de CHF 20 millions. Si l’on peut comprendre des reports de projets, leur ampleur questionne. La Ville n’effectue pas des investissements de luxe, elle met bien souvent à jour une infrastructure vétuste. Dès lors, il y a lieu de craindre que ces reports ne pèsent sur l’attractivité et sur le fonctionnement quotidien.

Ensuite, le nombre d’EPT de la Ville est bas. 622 contre 864 à Neuchâtel. Ce sous-effectif est l’une des causes des investissements repoussés, faute de personnel pour les porter. Il conduit également à de nombreux arrêts maladie et à un turnover important en raison de la surcharge de travail. La Ville devrait pourtant se montrer exemplaire et le POP espère qu’elle prendra les mesures qui s’imposent.

Pour terminer, soulignons que le maintien sous pression du personnel communal n’est pas gage de maîtrise des coûts. En effet, la Ville recourt alors à des partenaires externes chers. À ce titre, certains projets d’urbanisme prévoient des cabinets d’architectes pour près de 20 % de l’enveloppe totale.

Si l’on souhaite que notre ville attire de nouveaux habitants et s’ancre définitivement dans une dynamique positive, elle doit s’en donner les moyens. Sa situation actuelle semble indiquer qu’elle n’en prend pas le chemin. Une tendance que le POP compte bien inverser.


Groupe POP
Nicolas Turtschi

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Culture Le coin des musées Loisirs

MUSÉE DES BEAUX-ARTS : la clique aux roberts

MUSÉE DES BEAUX-ARTS : la clique aux roberts

"Léopold Robert, Le retour du pèlerinage à la Madone de l’Arc", prêt du Musée du Louvre au Musée des beaux-arts de La Chaux-de-Fonds © Musée des beaux-arts La Chaux-de-Fonds | Gaspard Gigon

D’ombrageux brigands aux poitrines ornées de goussets dorés, de belles dames tambourinant une danse frénétique, de nobles paysans sur un char d’Arcadie, des pêcheurs inquiets, des religieuses éplorées… C’est tout un peuple que Léopold Robert, épaulé par son frère Aurèle, a peint en plusieurs centaines de tableaux entre 1818 et 1835. L’artiste chaux-de-fonnier, installé à Rome puis à Venise, a reçu les plus grands honneurs, intégré les collections les plus prestigieuses de son temps grâce à ses œuvres dépeignant des fêtes et processions populaires. Quoi de plus naturel, dès lors, que le plus joyeux cortège de sa ville natale — le cortège des promotions — lui rende hommage sur la rue qui porte son nom, en faisant défiler des milliers d’élèves dans des costumes inspirés par ses tableaux ?

Depuis la mi-mai, l’avenue Léopold Robert est pavoisée d’oriflammes montrant des détails des œuvres des frères Robert. Cela pour signaler la double exposition organisée par le Musée des beaux-arts de La Chaux-de-Fonds et le Musée d’art et d’histoire de Neuchâtel où plus de 300 tableaux sont rassemblés.

Si quelqu’un se sentait ainsi intimidé à l’idée de pousser la porte du musée, voici donc une manifestation qui rappelle que l’art est affaire de tous. Les œuvres des musées appartiennent aux enfants des écoles, comme elles appartiennent à tous les citoyennes et citoyens de la ville. On peut les contempler aux cimaises des institutions, on peut aussi s’en emparer pour envahir les rues.

Les tableaux de Léopold et Aurèle Robert ont profondément marqué l’imaginaire européen de leur temps. Quiconque rêvait de liberté pouvait s’imaginer brigand, quiconque soupirait d’amour pouvait rêver à ces idylles de bord de mer que leurs pinceaux coloraient de mélancolie. Car l’art sert aussi à ça : à donner une image qui peut clarifier nos propres aspirations, éclairer nos propres expériences. La société dans laquelle vivaient les frères Robert nous semble aujourd’hui bien lointaine, ces personnages bien exotiques avec leurs frous-frous et leurs chars à bœufs. Et pourtant, ce qui anime ces peintures, ce sont les préoccupations centrales de nos vies aujourd’hui encore : l’amour et la liberté. L’art, c’est le mercredi après-midi de la vie.

Informations :

Exposition Léopold et Aurèle Robert. Ô saisons…
Du 13 mai 2023 au 12 novembre 2023

Musée des Beaux-Arts de La Chaux-de-Fonds :
du mardi au dimanche, 10h-17 h.

Musée d’art et d’histoire de Neuchâtel : du mardi au dimanche, 11h-18 h.


www.mbac.chwww.mahn.ch

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Le Conseil Général vous parle

La Chaux-de-Fonds : un parc immobilier si inoffensif ?

la chaux-de-fonds : un parc immobilier si inoffensif ?

Forts de plusieurs succès en matière de transition énergétique, les Vert’libéraux des Montagnes poursuivent leur action sans relâche au Conseil général en rapport à l’efficience énergétique. Si plusieurs approches se révèlent déterminantes pour y arriver, renforcer l’autonomie et stimuler la recherche, il en est une qui pourrait apporter rapidement des résultats probants.

En Suisse, 40 % de la consommation d’énergie est engloutie par le parc immobilier avec son cortège d’émanations polluantes et d’émission de C02.

À La Chaux-de-Fonds, l’urbanisme horloger, ses qualités esthétiques et patrimoniales revêtent une telle importance que l’aspect énergétique a quelque peu été négligé.

Il reste une grande marge de manœuvre allant de l’installation de panneaux solaires, de travaux d’isolations voire de réhabilitations capables avec la vertu de mettre en synergie plusieurs corps de métier issus de la place ; et ceci à moins des dix-sept ans qui nous sépare des objectifs du plan climat voté par le Grand Conseil neuchâtelois.

À partir de ce constat et comme point de départ, les Vert’libéraux ont fait la proposition au Conseil général de dresser une cartographie précise des performances énergétiques de chaque bâtiment inscrit dans la zone urbaine de notre ville.

En début d’année prochaine, le Conseil général aura à se prononcer sur le nouveau plan d’aménagement local intégrant la révision du plan de site.

Ce travail d’analyse pourrait être une réelle opportunité de dresser l’état des lieux de la performance énergétique des bâtiments de notre cité. Le résultat de cette analyse pourrait être complété par une appréciation des points faibles et des améliorations possibles de l’ensemble des bâtiments privés ou publics voraces en énergie, mais d’apparence si inoffensive.

Cette idée est réaliste et se fonde sur des techniques modernes telles que la thermographie. Elle pourrait inclure l’expertise CECB (Certificat Cantonal des Bâtiments).

Suite à cette proposition, la prise de conscience et la priorité que donnent les partis à la transition énergétique se sont clairement manifestées, allant d’un accueil condescendant à quelques messages de soutien en passant par l’étrange silence des vertes et de verts.

Les Vert’libéraux restent convaincus qu’il est essentiel d’avoir le courage d’agir.

Groupe Les Verts’Libéraux
Aliénor Zaffalon, Pascal Kaufmann et Brigitte Leitenberg

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Divers Loisirs

Un Été qui bouge

UN Été qui bouge

Le Service de la jeunesse propose la Carte Vacances, valable du 1er juillet au 13 août, pour les jeunes de 12 à 17 ans, au prix de CHF 25.-. Nouveauté cette année : les enfants de 6 à 11 ans pourront également profiter de cette offre pour 

CHF 20.- seulement, moyennant l’accompagnement obligatoire d’un adulte d’au moins 18 ans. Certaines prestations sont proposées de façon illimitée telles que l’accès à Muzoo, au skatepark et aux piscines de La Chaux-de-Fonds et du Locle. Des entrées au cinéma et au mini-golf sont également incluses.

Les cartes sont en vente dès le 26 juin, pour plus d’informations, rendez-vous sur la page internet

Service de la jeunesse
032 967 64 90