Les Vert’libéraux s’engagent durablement pour une vision constructive en adéquation avec leurs valeurs centristes, orientées vers les défis climatiques et énergétiques, en répondant aux préoccupations des familles et des acteurs économiques de la Ville.
Par leur implication, les Vert’libéraux s’efforcent de créer des ponts pour construire l’avenir de notre Métropole horlogère : leur rôle dans les commissions est essentiel.
Dans ces dernières, les dossiers sont présentés, chacun-e peut discuter avec le Conseil communal, questionner les Services afin d’optimiser les séances plénières du Conseil général. Les échanges entre commissaires permettent de bâtir une relation positive, de travailler à des consensus et d’avancer les projets. Lors de la précédente législature, le bureau nous avait permis de siéger au sein de certaines commissions, en participant aux réflexions communes, sans voter, situation conditionnée par des règlements communaux alambiqués.
Les Vert’libéraux pour la législature 2024-2028 ont à cœur de continuer sur cette dynamique démocratique qui permet à chaque parti, ayant un-e élu-e siégeant au CG, de participer, activement aux travaux de commissions.
Les cheffes de groupe des petits partis ont donc réitéré cette demande, mais en vain.
Excès de zèle ou de formalisme ? Le refus du bureau n’apporte rien de positif à l’échange et à la construction de projets pour notre ville. Nous le regrettons fortement. C’est une véritable baffe à la démocratie.
À l’heure où certain-e-s clament l’inclusion à tout-va, cette mesure d’exclusion étrique le débat et augmente les clivages gauche-droite. Le bureau, qui a pris conscience qu’une amélioration est nécessaire, a déposé une motion intitulée « Réflexion sur les commissions ».
Dans ce sillage, nous avons déposé un amendement pour qu’une étude soit menée et qu’au moins un-e membre élu-e de chaque parti puisse siéger dans les commissions du Conseil général, même à titre d’auditeur-trice.
Les Vert’libéraux souhaitent maintenir un questionnement sain et constructif et verraient d’un bon œil, en attendant le grand « toilettage » du règlement des commissions et la révision de la loi cantonale des communes, que le Bureau accepte en qualité « d’invité-e-s » les élu-e-s des petits partis dans le respect des citoyen-enne-s qui nous ont élu-e-s.
Pour les Vert’libéraux Brigitte Leitenberg – Cheffe de groupe