Une ville, par ses autorités et ses employé.e.s, doit relever, chaque jour, de nombreux défis avec les moyens dont elle dispose afin d’offrir les meilleures prestations possibles à sa population, et cela sans aucune maîtrise du contexte socio-économique, ni environnemental comme nous l’avons connu avec la tempête.
Sans dire qu’actuellement la situation financière soit idéale, nous avons tout de même des dépenses sous contrôle, des rentrées fiscales en augmentation et la reconnaissance des charges géotopographiques, important travail mené majoritairement par la Gauche. Notre cité gagne en dynamisme grâce aux investissements visant à améliorer les prestations et la qualité de vie des habitant.e.s, avec le développement d’une mobilité douce et sécurisée, plus de végétalisation urbaine, la rénovation d’infrastructures comme la piscine, et de nombreux autres projets qui vont changer durablement l’image de notre ville.
Pour arriver à cela, il ne suffit pas de rester braqué sur les dépenses, surtout si elles ne dépendent pas de notre bon vouloir ; s’il faut y prendre garde, il faut surtout avoir la volonté de croire qu’un meilleur avenir est possible, ne pas baisser les bras devant les difficultés, dépasser un état d’esprit fataliste et viser le cercle vertueux qui nous permettra de limiter les inégalités sociales, d’arrêter la détérioration de notre environnement et d’offrir à notre population un accès à des services de qualité dans un cadre harmonieux.
Le groupe des Vert.e.s se réjouit de continuer à travailler à l’amélioration de la qualité de vie des habitant.e.s de notre chère cité en continuant notamment à promouvoir des thématiques comme donner des espaces sécurisés à toutes les mobilités, poursuivre la végétalisation de la ville, végétalisation qui évite les îlots de chaleur et permet de favoriser la préservation de la biodiversité (sans elle, point de nourriture…), veiller à conserver un accès à des soins de qualité, ainsi que promouvoir une économie circulaire et locale favorisant les circuits courts qui profitent tout autant aux producteur·trice·s, qu’aux commerçant.e.s ainsi qu’aux consommateur·trice·s de notre cité.
C’est en faisant toutes et tous notre part que nous pourrons y arriver !