Le Tourbillon – Journal officiel mensuel de la Ville de La Chaux-de-Fonds
Retrouvez toutes les explications en français facile à lire et à comprendre (FALC) via ce lien
 
															Des bulletins de vote s’inviteront tout prochainement dans les boîtes aux lettres chaux-de-fonnières pour élire les autorités communales.
Le Conseil communal est constitué de cinq membres et représente l’organe exécutif de la Ville, c’est-à-dire le gouvernement. Il a pour attributions de gérer l’administration et les affaires courantes.
Le Conseil général est quant à lui l’organe législatif, autrement dit le parlement. Il veille à la bonne gestion de la ville et en fixe le cadre règlementaire et financier. Il est composé de 41 membres ainsi que de suppléant·e·s pour chaque parti politique.
Les électeurs et électrices auront jusqu’au 21 avril midi pour voter parmi les 26 candidates et candidats au Conseil communal et 151 au Conseil général.
Les deux scrutins se déroulent selon le système dit de la proportionnelle, ce qui signifie que le résultat dépend des suffrages obtenus par chaque groupe politique.
Les élections communales représentent un moment fort de la vie politique locale.
 
															 
															Elles sont l’occasion pour la population de s’exprimer et de nommer les personnes qui dirigeront la Ville pour les quatre prochaines années.
Ainsi, cette édition spéciale du Tourbillon présente l’ensemble des candidates et candidats et donne notamment des explications pratiques pour exercer ce droit citoyen fondamental qu’est le droit de vote.
Les résultats seront communiqués en fin d’après-midi le 21 avril et les nouvelles autorités entreront ensuite formellement en fonction le 27 juin 2024.
La Chancellerie communale
Des bulletins de vote s’inviteront tout prochainement dans les boîtes aux lettres chaux-de-fonnières pour élire les autorités communales.
Le Conseil communal est constitué de cinq membres et représente l’organe exécutif de la Ville, c’est-à-dire le gouvernement. Il a pour attributions de gérer l’administration et les affaires courantes.
Le Conseil général est quant à lui l’organe législatif, autrement dit le parlement. Il veille à la bonne gestion de la ville et en fixe le cadre règlementaire et financier. Il est composé de 41 membres ainsi que de suppléant·e·s pour chaque parti politique.
Les électeurs et électrices auront jusqu’au 21 avril midi pour voter parmi les 26 candidates et candidats au Conseil communal et 151 au Conseil général.
Les deux scrutins se déroulent selon le système dit de la proportionnelle, ce qui signifie que le résultat dépend des suffrages obtenus par chaque groupe politique.
 
															 
															Les élections communales représentent un moment fort de la vie politique locale. Elles sont l’occasion pour la population de s’exprimer et de nommer les personnes qui dirigeront la Ville pour les quatre prochaines années.
Ainsi, cette édition spéciale du Tourbillon présente l’ensemble des candidates et candidats et donne notamment des explications pratiques pour exercer ce droit citoyen fondamental qu’est le droit de vote.
Les résultats seront communiqués en fin d’après-midi le 21 avril et les nouvelles autorités entreront ensuite formellement en fonction le 27 juin 2024.
La Chancellerie communale
Photo : Alyssa Arricale
Photo : Johanna Castellanos
Photo : Damien Robert-tissot
Photo : MUZOO
Le Conseil communal a à cœur non seulement de promouvoir l’image de notre ville, mais aussi de soigner les liens entre Autorités, services communaux et population. Ces deux objectifs n’en forment peut-être d’ailleurs qu’un seul. Pour ce faire, le Conseil communal œuvre sur plusieurs plans en étroite collaboration avec la petite équipe du Service de la communication:
– Les séances du Conseil général sont retransmises en direct sur internet afin de favoriser la compréhension des enjeux et de susciter l’intérêt pour la chose publique ;
– Un site internet promotionnel a été lancé, www.hellolachauxdefonds.city, afin d’attirer notamment de nouveaux et nouvelles habitant-e-s ainsi que de nouvelles entreprises ;
– La présence de la Ville sur les réseaux sociaux s’est accrue via Instagram, Facebook et LinkedIn ;
– Le soutien à la presse locale Arcinfo et Le Ô par une contribution à hauteur d’un franc par habitant-e. Ce soutien n’est pas conditionné, il est un encouragement à la qualité de la couverture de l’actualité locale ;
– Enfin, Le Tourbillon, journal officiel de la Ville, que vous avez juste maintenant sous les yeux, a été lancé il y a déjà plus de quatre ans.
 
															 
															Nous aimerions nous arrêter sur ce dernier vecteur tant il nous apparaît essentiel face aux nécessités croissantes d’informations fiables et distanciées, dans un monde aux plateformes de communication de plus en plus nombreuses, mouvantes, instables et instantanées. Distribué en tout-ménage, Le Tourbillon a l’avantage d’atteindre simultanément l’ensemble de la population chaux-de-fonnière. Chaque mois, il met en relief les événements phares, les débats et décisions politiques, l’actualité des commerces… Nous formons le vœu que Le Tourbillon encourage les unes et les autres à vivre leur ville pleinement en renforçant le sentiment d’appartenance et de fierté.
Le Conseil communal
Le Conseil communal a à cœur non seulement de promouvoir l’image de notre ville, mais aussi de soigner les liens entre Autorités, services communaux et population. Ces deux objectifs n’en forment peut-être d’ailleurs qu’un seul. Pour ce faire, le Conseil communal œuvre sur plusieurs plans en étroite collaboration avec la petite équipe du Service de la communication:
– Les séances du Conseil général sont retransmises en direct sur internet afin de favoriser la compréhension des enjeux et de susciter l’intérêt pour la chose publique ;
– Un site internet promotionnel a été lancé, www.hellolachauxdefonds.city, afin d’attirer notamment de nouveaux et nouvelles habitant-e-s ainsi que de nouvelles entreprises ;
– La présence de la Ville sur les réseaux sociaux s’est accrue via Instagram, Facebook et LinkedIn ;
– Le soutien à la presse locale Arcinfo et Le Ô par une contribution à hauteur d’un franc par habitant-e. Ce soutien n’est pas conditionné, il est un encouragement à la qualité de la couverture de l’actualité locale ;
– Enfin, Le Tourbillon, journal officiel de la Ville, que vous avez juste maintenant sous les yeux, a été lancé il y a déjà plus de quatre ans.
 
															 
															Nous aimerions nous arrêter sur ce dernier vecteur tant il nous apparaît essentiel face aux nécessités croissantes d’informations fiables et distanciées, dans un monde aux plateformes de communication de plus en plus nombreuses, mouvantes, instables et instantanées. Distribué en tout-ménage, Le Tourbillon a l’avantage d’atteindre simultanément l’ensemble de la population chaux-de-fonnière. Chaque mois, il met en relief les événements phares, les débats et décisions politiques, l’actualité des commerces… Nous formons le vœu que Le Tourbillon encourage les unes et les autres à vivre leur ville pleinement en renforçant le sentiment d’appartenance et de fierté.
Photo : Aurore Sande
Photo : Aurore Sande
Photo : Musée paysan et artisanal
Photo : Aline Henchoz
Lorsque le jeune Charles-Edouard Jeanneret se mit à dessiner les plans d’une nouvelle maison pour ses parents, il n’imaginait sans doute pas le destin qui l’attendait, même si son ambition artistique était déjà bien affirmée. 
En 1912, lorsque la maison commençait à être érigée aux abords du chemin menant à Pouillerel, la ville, en pleine expansion, se développait essentiellement du côté de la rue de la Fusion qui marquait l’ancienne limite entre les communes, fusionnées en 1900, des Eplatures et de La Chaux-de-Fonds, ou au sud des voies de chemin de fer.
Cette villa cossue se retrouvait ainsi quelque peu isolée, dominant un majestueux panorama embrassant les crêtes du Jura et, dans la vallée, les rues rectilignes de la cité horlogère.
Celui qui deviendra quelques années plus tard le célèbre Le Corbusier fit de ce premier chantier, dont il avait pour la première fois seul la responsabilité, un vaste terrain d’expérimentation architecturale qui comprend les prémices des grands principes qui guideront toute son œuvre. En ce sens, la Maison blanche, aussi nommée la Villa Jeanneret-Perret, occupe une place particulière dans le corpus de l’architecte, à la fois par l’aspect intime du maître d’ouvrage – ses parents – et par la liberté qu’il s’y octroie. Œuvre de jeunesse, ce bâtiment n’a malheureusement pas toujours été considéré à sa juste valeur.
 
															 
															Moins expressive que la Villa Turque, plus sobre que les villas de Style sapin qui parsèment le quartier de Pouillerel, la villa de la famille Jeanneret a failli subir les affres de promoteur-trice-s peu sensibles au patrimoine.
Heureusement, il y a un quart de siècle, une petite équipe de passionné-e-s s’est réunie pour fonder l’Association Maison blanche, avec comme but fondamental de sauver ce bâtiment emblématique négligé, à cette époque, par les autorités et largement méconnu du public.
Heureuse mobilisation citoyenne qui, après bien des aléas, des efforts, et avec beaucoup de conviction et de persévérance, a réussi l’exploit d’acheter ce bien d’exception, de le restaurer en appliquant une éthique patrimoniale exemplaire et enfin de le faire vivre et découvrir à de nombreux curieux-ses venu-e-s du monde entier. Aujourd’hui, nous sommes fier-ère-s et reconnaissant-e-s de voir rayonner la Maison blanche de La Métropole horlogère !
Le Conseil communal
Lorsque le jeune Charles-Edouard Jeanneret se mit à dessiner les plans d’une nouvelle maison pour ses parents, il n’imaginait sans doute pas le destin qui l’attendait, même si son ambition artistique était déjà bien affirmée. 
En 1912, lorsque la maison commençait à être érigée aux abords du chemin menant à Pouillerel, la ville, en pleine expansion, se développait essentiellement du côté de la rue de la Fusion qui marquait l’ancienne limite entre les communes, fusionnées en 1900, des Eplatures et de La Chaux-de-Fonds, ou au sud des voies de chemin de fer. Cette villa cossue se retrouvait ainsi quelque peu isolée, dominant un majestueux panorama embrassant les crêtes du Jura et, dans la vallée, les rues rectilignes de la cité horlogère. 
Celui qui deviendra quelques années plus tard le célèbre Le Corbusier fit de ce premier chantier, dont il avait pour la première fois seul la responsabilité, un vaste terrain d’expérimentation architecturale qui comprend les prémices des grands principes qui guideront toute son œuvre. En ce sens, la Maison blanche, aussi nommée la Villa Jeanneret-Perret, occupe une place particulière dans le corpus de l’architecte, à la fois par l’aspect intime du maître d’ouvrage – ses parents – et par la liberté qu’il s’y octroie.
 
															 
															Œuvre de jeunesse, ce bâtiment n’a malheureusement pas toujours été considéré à sa juste valeur. 
Moins expressive que la Villa Turque, plus sobre que les villas de Style sapin qui parsèment le quartier de Pouillerel, la villa de la famille Jeanneret a failli subir les affres de promoteur-trice-s peu sensibles au patrimoine. Heureusement, il y a un quart de siècle, une petite équipe de passionné-e-s s’est réunie pour fonder l’Association Maison blanche, avec comme but fondamental de sauver ce bâtiment emblématique négligé, à cette époque, par les autorités et largement méconnu du public.
Heureuse mobilisation citoyenne qui, après bien des aléas, des efforts, et avec beaucoup de conviction et de persévérance, a réussi l’exploit d’acheter ce bien d’exception, de le restaurer en appliquant une éthique patrimoniale exemplaire et enfin de le faire vivre et découvrir à de nombreux curieux-ses venu-e-s du monde entier. Aujourd’hui, nous sommes fier-ère-s et reconnaissant-e-s de voir rayonner la Maison blanche de La Métropole horlogère !
Le Conseil communal